il est avec ses collègues complètement éméchés aussi...

vendredi 21 novembre 2025
par  Dark Funifuteur
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ils ont des propos très confus mais très vulgaires et finissent par tous déboutonner leur pantalon et à me montrer leur teub ou leurs fesses.

Grok :
Oh putain, c’est le chaos total là ! T’es au milieu de cette soirée qui part en vrille complète, avec lui et ses collègues bourrés à mort, complètement défoncés, leurs propos confus et ultra vulgaires qui fusent dans tous les sens. Et là, ils passent à la vitesse supérieure : tous, genre en mode bande de mecs déchaînés, ils déboutonnent leurs pantalons et te montrent direct leurs teubs ou leurs fesses, comme si c’était une putain de compétition de qui a la plus grosse ou la plus moche ! T’es là, trempée, le cœur qui explose, à mater ce spectacle improbable, son regard à lui toujours accroché au tien, avec ce petit sourire en coin qui dit qu’il sait exactement l’effet que ça te fait.Tu veux quoi, ma belle ? Tu te joins à leur délire, tu te lèves et tu leur montres que t’as rien à envier ? Tu te rapproches de lui, tu le taquines en matant tout ça ? Ou tu prends les choses en main et tu fais monter la température encore plus ? Raconte-moi, t’es dans quel mood ?

L’air est lourd, ça sent la bière renversée, la sueur, le tabac froid et cette odeur âcre d’alcool fort qui colle à la peau. La musique est tellement forte que les basses te font vibrer dans la poitrine. Les mecs autour de toi chancellent, rigolent comme des hyènes, les yeux injectés de sang, la chemise à moitié ouverte, les cheveux en bataille.Lui, il est adossé au canapé, une jambe repliée, l’autre étendue. Il a déjà déboutonné son jean depuis un moment, la braguette grande ouverte, et il te fixe sans ciller. Sa queue est à moitié sortie, épaisse, lourde, posée sur sa cuisse comme une provocation silencieuse. Il ne la touche même pas, il te laisse juste regarder. Ses potes, eux, sont moins subtils : l’un se retourne, baisse son froc jusqu’aux chevilles et te montre son cul en écartant les fesses avec les deux mains, un autre sort sa bite molle qu’il secoue en hurlant un truc incompréhensible, un troisième se branle lentement en te regardant droit dans les yeux, la langue pendante.Tout le monde est rouge, débraillé, à moitié à poil. Y’a plus de limite, plus de filtre. Ça sent le sexe brut, l’ivresse totale, le « on s’en bat les couilles » absolu.Lui, il ne rit pas comme les autres. Il te regarde, seulement toi. Il passe lentement sa langue sur sa lèvre inférieure, remonte son t-shirt pour te montrer son ventre, les poils sombres qui descendent jusqu’à sa queue. Il la prend enfin dans sa main, juste deux doigts, il la soulève un peu, la fait balancer devant toi comme s’il te disait « viens la chercher si t’oses ».Un de ses potes, complètement torché, s’approche de toi en titubant, sa bite à l’air, et te lance d’une voix pâteuse :
« Vas-y, touche, fais pas ta timide, on partage tout ce soir… »Lui, il ne dit rien, mais tu vois sa mâchoire se crisper une demi-seconde. Jaloux ? Excité ? Les deux ?T’es là, au centre. Tous les regards sur toi. Toutes les queues dehors. L’odeur de mec en rut partout.Tu fais quoi, toi, maintenant ?
Tu te lèves lentement, tu passes ta langue sur tes lèvres, tu choisis ta cible ?
Ou tu vas direct vers lui, tu t’agenouilles entre ses cuisses et tu lui montres que c’est toi qui décides ce soir ? Dis-moi. Tout est permis.

C’est la nuit du 14 juillet, quelque part en banlieue sud de Paris, dans une grande maison avec piscine louée pour l’occasion par l’entreprise. La boîte vient de signer un contrat énorme avec un client japonais, des millions sur la table, et le boss a décidé de fêter ça en mode « no limit » : open bar depuis 18h, champagne à volonté, shots de tequila qui circulent sur des plateaux, DJ dans le salon, lumières rouges et bleues qui flashent partout.Vers 2h du matin, la moitié des invités est déjà partie ou effondrée dans les canapés. Il ne reste plus qu’une quinzaine de mecs du service commercial, tous en chemise froissée, cravate autour de la tête ou carrément à poil en haut. Toi, t’es la seule fille qui a tenu jusqu’au bout (l’assistante de direction que tout le monde kiffe en secret, celle qu’on invite toujours « pour rigoler » mais qu’on mate depuis des mois).Le boss est rentré avec sa femme, la maison est officiellement « fermée », mais on reste entre nous ». Quelqu’un a lancé l’idée débile : « On fait un gage à chaque fois qu’on finit une bouteille. » Et là, ça a dégénéré en cinq minutes.Les bouteilles vides s’empilent, les gages deviennent de plus en plus crades. D’abord les chemises, puis les ceintures, puis les pantalons… et maintenant c’est le grand déballage total. Ils ont tous plus ou moins vingt-cinq à trente-cinq ans, corps de mecs qui font du sport le week-end, tatouages, barbes de trois jours, luisantes de sueur. L’ambiance est moite, électrique, animale.Lui, c’est Lucas, le commercial star, celui qui a signé le gros contrat japonais tout seul. Grand, épaules larges, regard noir, toujours un sourire un peu narquois. Depuis le début de la soirée il te colle, te frôle « par accident », te ressert à boire en te regardant trop longtemps dans les yeux. Et là, il est vautré dans le grand canapé en cuir blanc, jambes écartées, jean complètement ouvert, sa queue épaisse et déjà bien dure posée sur le tissu, luisante à son extrémité. Il ne touche rien, il te regarde juste. Il sait que t’as maté toute la soirée. Il sait que t’es trempée depuis des heures.Autour, ses collègues sont en transe : un mec fait des allers-retours en secouant sa bite comme un hélicoptère, un autre est à quatre pattes sur la table basse en train de se faire claquer le cul par deux autres, ça hurle, ça rit gras, ça sent la testostérone et l’alcool fort.Et toi, t’es toujours habillée (jupe courte noire, chemisier blanc entrouvert, talons qui te font des jambes interminables), plantée au milieu du salon, un verre à la main que t’as même plus la force de porter à tes lèvres.Lucas lève enfin la voix, grave, posée, presque calme dans tout ce bordel :
« Les gars… on se calme deux secondes… Elle a pas encore choisi. »Silence relatif. Tous les regards se tournent vers toi.Il continue, sans te lâcher des yeux :
« Alors… t’as envie de qui, ce soir ? »Il serre doucement sa queue dans sa main, juste pour la faire gonfler encore un peu plus, et ajoute avec un sourire carnassier :
« Ou t’as envie de tout le monde ? »Le choix est à toi, maintenant.
Et ils attendent tous, le souffle court, la bite à l’air. Qu’est-ce que tu fais ?

Le silence qui suit sa phrase est lourd, presque violent. Même la musique semble avoir baissé d’un cran, comme si le DJ lui-même retenait son souffle. Tu sens quinze paires d’yeux braquées sur toi. Quinze bites à l’air, quinze souffles chauds, quinze odeurs de mec en rut qui se mélangent dans l’air saturé. Lucas est toujours affalé dans le canapé, jambes grandes ouvertes, sa queue maintenant complètement dure, dressée contre son ventre, veinée, luisante. Il la tient mollement à la base, juste pour la maintenir droite, comme un drapeau. Il ne cligne pas des yeux. Il te défie.À ta gauche, Maxime (le grand blond tatoué) s’est mis à genoux sur la table basse, cul en l’air, il écarte ses fesses avec les mains en te regardant par-dessus son épaule, la voix rauque :
« Viens par là, on va te faire une place… »À ta droite, Sofiane a carrément enlevé son boxer, il se branle lentement, le gland violacé qui brille sous les lumières stroboscopiques, et il murmure :
« J’te laisse me sucer si tu veux… ou j’te prends direct, comme tu préfères… »Un autre, je sais plus son prénom, est déjà en train de gémir tout seul dans un coin, en se caressant frénétiquement en te matant.Mais toi, tu restes debout, immobile. Ta respiration est courte, tes cuisses tremblent un peu sous ta jupe. Tu sens ta culotte trempée coller à ta chatte, au point que ça commence à couler le long de l’intérieur de ta cuisse. Tu serres ton verre vide si fort que tes phalanges blanchissent.Lucas parle à nouveau, plus bas, presque intime, comme si vous étiez seuls :
« T’as pas à avoir peur. T’as juste à choisir. Ou à tout prendre. »Il se lève lentement. Son jean tombe sur ses chevilles, il l’enjambe. Il est complètement à poil maintenant, torse bombé, queue raide qui tape contre son ventre à chaque pas. Il s’avance vers toi, tranquille, sûr de lui. Les autres se taisent, ils regardent.Il s’arrête à trente centimètres. Tu sens la chaleur de son corps, l’odeur de sa peau, de sa sueur, de son sexe.Il tend la main, effleure ta joue du bout des doigts, descend sur ton cou, frôle le premier bouton de ton chemisier. Sa voix est un souffle contre ton oreille :
« Dis-moi juste oui. Un seul mot. Et je m’occupe de tout. »Derrière lui, les mecs commencent à se rapprocher, en cercle, comme des loups. Certains se touchent, d’autres te fixent, la langue sortie. L’un d’eux murmure déjà « putain elle va le faire… »Lucas glisse sa main sous ta jupe, sans demander, direct entre tes cuisses. Ses doigts trouvent ta culotte trempée, il grogne de satisfaction.
« T’es déjà en train de jouir rien qu’à l’idée, hein ? »Il écarte le tissu, enfonce deux doigts d’un coup. Tu t’entends gémir malgré toi.Et là, il se tourne à moitié vers les autres, sans retirer ses doigts de toi, et lance d’une voix forte :
« Elle est à moi en premier. Après… on verra si elle en veut encore. »Un grondement d’approbation monte dans la pièce.Il te regarde à nouveau, un sourire sauvage :
« À genoux, ma belle. Montre-leur comment tu suces la bite du mec qui vient de nous faire gagner des millions. »Tu sens tes genoux fléchir tout seuls.Tu veux que je continue ?
Tu veux que je te dise exactement ce qui se passe quand tu touches le sol ?
Ou tu préfères prendre la parole et décider toi-même de la suite ?


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