Une dernière nouvelle , ce soir , a enflammé les rédactions de France : Ce décideur (malchanceux) 🤣 , qu’on ne présente plus , fait acte de candidature - par ChatGPT
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ChatGPT :
Ta phrase a déjà un ton piquant et ironique — on sent bien la satire médiatique. Si tu veux, je peux t’aider à la reformuler selon le ton que tu vises :
Voici quelques variantes selon différents styles 👇
**1. Style journalistique ironique :**
> Dernière nouvelle qui affole les rédactions : le décideur le plus malchanceux de France (et de loin) vient d’annoncer sa candidature.
**2. Style mordant / réseaux sociaux :**
> Breaking news : le fameux décideur (toujours aussi malchanceux 🤣) se lance dans la course. On n’est pas sortis de l’auberge.
**3. Style solennel détourné :**
> Ce soir, la France retient son souffle : celui qu’on ne présente plus — et qu’on n’enviait pas non plus — fait acte de candidature.
**4. Version plus littéraire :**
> Dans un dernier éclat de la journée, une nouvelle s’est propagée comme un feu de paille : le décideur honni du destin se jette à nouveau dans l’arène.
Souhaites-tu que je t’aide à choisir ou à peaufiner une version selon le ton global du texte (humoristique, satirique, politique, dramatique, etc.) ?
Parfait 👍 Tu veux donc que je développe ta phrase en un petit texte ou paragraphe dans le même ton ?
Avant que je me lance : veux-tu que ce soit plutôt
* **satirique et humoristique** (fausse dépêche façon *Le Gorafi*, ironique et moqueuse),
* **journalistique dramatique** (comme une breaking news télévisée pleine d’enflure médiatique),
* **littéraire / politique** (style éditorial d’opinion, plus ciselé et mordant) ?
Donne-moi le ton que tu veux, et je te fais une version développée dans ce style.
Très bien 😎 Allons-y — voici un **contexte inventé**, dans lequel ta phrase prend tout son sel :
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**Contexte :**
Nous sommes à la veille d’une élection présidentielle anticipée en France. Le pays, épuisé par les scandales à répétition, la valse des ministres et les crises économiques successives, n’attend plus grand-chose de la politique. C’est alors qu’une nouvelle inattendue secoue les rédactions : **Marc-André Vautrin**, ancien haut fonctionnaire devenu symbole de la "malchance institutionnelle" — chaque poste qu’il a occupé s’est terminé par un fiasco mémorable — **annonce sa candidature à la présidence**.
Les médias, partagés entre fou rire et incrédulité, relaient la nouvelle avec frénésie. En plateau, les commentateurs hésitent entre compassion et sarcasme : après tout, c’est l’homme qui avait promis de "simplifier les démarches administratives"… avant que tout le système informatique du ministère ne plante pendant trois semaines.
Et pourtant, le voilà de retour. Déterminé. Souriant. Convaincu que "la France mérite sa chance", selon ses propres mots.
C’est dans ce climat que tombe la phrase d’ouverture des journaux du soir :
> « Une dernière nouvelle, ce soir, a enflammé les rédactions de France : ce décideur (malchanceux) 🤣, qu’on ne présente plus, fait acte de candidature. »
Sur les réseaux, la nouvelle devient virale. Le hashtag **#Vautrin2027** se propage en quelques minutes, accompagné de memes rappelant ses anciennes "catastrophes de gestion". Mais dans l’ombre, certains observateurs murmurent que cette fois, l’homme a un plan.
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Souhaites-tu que je continue dans ce ton — en développant, par exemple, **l’annonce officielle de sa candidature** (discours, plateau télé, réaction du public, etc.) ?
Ou veux-tu que je bascule dans un **registre plus satirique**, façon fausse dépêche humoristique type *Le Gorafi* ?
Excellent 😏 Allons plus loin.
Voici une **version développée**, dans un ton **satirique et réaliste**, comme un reportage télévisé ou un article ironique d’actualité.
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### **La candidature du décideur maudit**
Une dernière nouvelle, ce soir, a enflammé les rédactions de France : ce décideur (malchanceux) 🤣, qu’on ne présente plus, fait acte de candidature.
Oui, **Marc-André Vautrin**, l’homme des réformes inachevées, des plans de relance qui ne relançaient rien, des conférences de presse où même le prompteur semblait le trahir, a décidé de "se mettre au service de la Nation". Encore.
L’annonce est tombée à 19h47 précises, dans une vidéo tournée manifestement sur un smartphone, devant une bibliothèque vide et une plante agonisante. On y voit Vautrin, costume trop grand, regard sincère mais fatigué, déclarer d’une voix tremblante :
> "Je ne pouvais pas rester spectateur d’un pays qui doute de lui-même. J’ai connu l’échec, certes, mais c’est dans l’échec que l’on forge les plus grands succès."
Les réseaux sociaux se sont aussitôt enflammés. Sur X (anciennement Twitter), les réactions s’enchaînent :
> *« C’est courageux de retenter sa chance après avoir tout raté, non ? »*
> *« Quel héros tragique, on dirait Sisyphe en costume Hugo Boss. »*
> *« Encore lui ?! Même mon grille-pain a connu moins de bugs. »*
Dans les rédactions, les journalistes oscillent entre l’hilarité et la fascination morbide. Certains parient déjà sur la durée de sa campagne : *"Une semaine s’il pleut, deux s’il reste discret."*
Mais contre toute attente, Vautrin semble convaincu que le vent tourne. Selon son entourage — trois anciens stagiaires et un cousin optimiste —, il aurait mûrement réfléchi à son retour. Sa stratégie : miser sur "l’authenticité", ce qui, dans son cas, signifie apparaître aussi maladroit que d’habitude, mais sans filtre cette fois.
Les experts politiques, eux, s’interrogent. L’un d’eux, invité sur un plateau de débat, résume la situation d’un ton grave :
> "Vautrin incarne un phénomène nouveau : la nostalgie du raté. Les Français, lassés des surdoués défaillants, préfèrent peut-être désormais l’échec sincère au succès suspect."
Dans les rues, quelques partisans — ou curieux — commencent à se rassembler. Une poignée d’étudiants brandit des pancartes ironiques :
> *« Vautrin 2027 : au moins, on sait à quoi s’attendre. »*
> *« L’échec, c’est maintenant. »*
Et tandis que la nuit tombe sur Paris, un journaliste conclut son direct avec un sourire en coin :
> "Marc-André Vautrin, éternel revenant de la vie publique, entre une fois encore dans l’arène politique. On ignore s’il en sortira vivant, mais une chose est sûre : les rédactions, elles, ne vont pas s’ennuyer."
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Souhaites-tu que je continue avec la **conférence de presse du lendemain** (où il présente son programme, entre bourdes et malentendus) ?
Je peux en faire un passage de 2 à 3 pages dans le même ton.



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