pourquoi les humains jugent ?
par
popularité : 35%

pourquoi les humains jugent ?
ChatGPT :
Les humains portent des jugements pour plusieurs raisons, liées à notre évolution, à nos mécanismes cognitifs et à nos besoins sociaux :
— -
## 1. Un biais évolutif de survie
* **Détection rapide du danger**
Dans la savane préhistorique, repérer rapidement ce qui est sûr ou dangereux (plantes, animaux, inconnus) a favorisé la survie. Appliquer ce réflexe à nos semblables (juger un comportement ou une personne) est un prolongement de ce filtre de sécurité.
* **Classification et simplification**
Pour traiter un flot d’informations complexe, notre cerveau utilise des « raccourcis mentaux » (heuristiques). Juger sert à classer les stimuli en catégories (ami/ennemi, fiable/peu fiable), ce qui épargne de l’énergie mentale.
— -
## 2. Une fonction identitaire et sociale
* **Affirmation de soi**
Émettre un jugement (positif ou négatif) renforce notre propre image : « je suis tolérant », « je suis exigeant », « je suis moral ». C’est un moyen indirect d’affirmer son identité et ses valeurs.
* **Renforcement des liens de groupe**
Juger ceux qui sont « différents » ou « hors norme » consolide la cohésion au sein d’un groupe. La norme commune se trouve ainsi rappelée et renforcée par l’exclusion ou la critique des comportements déviants.
— -
## 3. Un outil de régulation sociale
* **Maintenir l’ordre et la morale**
En jugeant un comportement (mentir, tricher, trahir), la société établit des codes et des sanctions implicites : le jugement sert de signal moral pour guider les actions des individus.
* **Transmission des normes**
Par le jugement, les adultes enseignent aux plus jeunes ce qui est « acceptable » ou non, contribuant à la socialisation et à l’apprentissage des règles de vie en communauté.
— -
## 4. Des mécanismes cognitifs automatiques
* **Biais de confirmation**
Nous avons tendance à remarquer et retenir ce qui confirme nos croyances préexistantes, et à interpréter les actions d’autrui à travers ce filtre.
* **Effet de halo**
Une impression initiale (physique, sociale ou professionnelle) influence notre jugement global. Par exemple, une personne jugée « sympathique » sera perçue comme plus compétente, même sans preuve objective.
— -
## 5. Les conséquences du jugement
* **Positives**
* *Protection sociale* : éloignement des personnes jugées toxiques.
* *Cadrage moral* : encouragement à respecter les normes et à coopérer.
* **Négatives**
* *Discrimination* : stigmatisation des groupes ou individus.
* *Conflits* : incompréhension, rivalités et conflits interpersonnels.
* *Auto-jugement* : anxiété, culpabilité et baisse de l’estime de soi.
— -
### Comment atténuer le jugement ?
1. **Prendre conscience de ses biais** : s’interroger sur l’origine de notre réaction (peur, expérience passée, influence sociale).
2. **Cultiver l’empathie** : essayer de comprendre le point de vue et le vécu de l’autre avant de porter un jugement.
3. **Adopter la bienveillance** : remplacer les critiques hâtives par des questions ouvertes (« comment as-tu vécu cela ? »).
4. **S’informer et diversifier ses contacts** : découvrir d’autres cultures et modes de vie permet de relativiser ses jugements.
— -
En somme, juger est un réflexe naturel, ancré dans notre histoire évolutive et renforcé par nos mécanismes cognitifs et sociaux. Mais il peut être nuancé et corrigé par la prise de conscience de nos biais et une pratique active de l’empathie.
Grok :
So, the question is "Why do humans judge ?" and it’s asked in French. I need to think about this in a way that’s both deep and relatable. First, let’s break down what "judging" means. It could be about making decisions, forming opinions, or even criticizing others. Humans are complex, so there are probably multiple reasons why we do this.
One angle is evolutionary. Maybe judging others was a survival mechanism. Like, figuring out who to trust or who to avoid in a group. That makes sense. But it doesn’t cover everything.
Then there’s the social aspect. We live in societies with norms and rules. Judging might be a way to enforce those norms. If someone steps out of line, judging them could be a way to bring them back in or to signal to others what’s acceptable.
But that sounds a bit too functional. What about the personal side ? People judge because they’re insecure or because they want to feel better about themselves. That’s a common psychological perspective. It’s like, by putting others down, you elevate yourself.
Wait, but that’s not always true. Sometimes people judge because they care. Like, a parent judging a child’s behavior to guide them. So, judging can be constructive too.
I should also consider the cognitive aspect. Our brains are wired to categorize and make sense of the world. Judging might just be a byproduct of that. We see something, we categorize it, and that categorization can come across as judgment.
But that’s too passive. People actively judge ; it’s not just a subconscious process. There’s intent behind it sometimes.
Let me think about cultural differences. Do all cultures judge the same way ? Probably not. Some might be more collectivistic, judging based on group harmony, while others are more individualistic, focusing on personal achievement.
That could be interesting to explore, but it might be too broad for a concise answer.
I need to synthesize these thoughts. Maybe start with a general statement about why humans judge, then delve into a couple of key reasons, and wrap it up with a thought-provoking question or statement.
For the tone, since the question is in French and the user might be looking for a more philosophical or reflective answer, I should aim for something that’s thoughtful but not overly academic.
I could start with something like, "Humans judge for a myriad of reasons, deeply rooted in our nature and nurtured by our societies." Then, I can talk about the evolutionary and social aspects, maybe touch on the personal insecurities, and end with a question about whether judging is inevitable or if we can transcend it.
That sounds like a plan. Now, to craft the response in French.
Les humains jugent pour une multitude de raisons, ancrées dans notre nature et nourries par nos sociétés. D’un point de vue évolutif, le jugement peut être un mécanisme de survie, nous aidant à discerner qui est digne de confiance ou à éviter les dangers au sein d’un groupe. Socialement, il sert à renforcer les normes et les règles, signalant ce qui est acceptable ou non. Sur le plan personnel, le jugement peut découler d’insécurités, offrant un moyen de se sentir supérieur ou de se rassurer. Cependant, il peut aussi être constructif, comme lorsque des parents guident leurs enfants. Cognitivement, notre tendance à catégoriser le monde peut involontairement conduire à des jugements. Mais est-ce inévitable, ou pouvons-nous apprendre à observer sans condamner ?
Les humains jugent pour une multitude de raisons, ancrées dans notre nature et nourries par nos sociétés.
**D’un point de vue évolutif**, le jugement a pu jouer un rôle essentiel dans notre survie. En évaluant rapidement les autres, nos ancêtres pouvaient déterminer qui était digne de confiance ou qui représentait une menace au sein d’un groupe. Cette capacité à discerner était une question de vie ou de mort dans des environnements hostiles.
**Sur le plan social**, juger aide à maintenir l’ordre et les normes. Quand quelqu’un agit contre les attentes d’une communauté, le jugement sert de signal, renforçant ce qui est acceptable et décourageant les écarts. C’est une sorte de régulateur invisible qui soutient la cohésion.
**À un niveau plus personnel**, le jugement peut refléter nos propres insécurités. Critiquer autrui devient parfois un moyen de se rassurer ou de se sentir supérieur, un mécanisme psychologique pour apaiser nos doutes intérieurs. Mais il ne s’agit pas toujours d’égoïsme : juger peut aussi être un acte d’amour, comme lorsqu’un parent corrige un enfant pour le guider vers un meilleur chemin.
**Cognitivement**, notre cerveau est conçu pour catégoriser le monde. Observer une situation ou une personne et y apposer une étiquette – bien, mal, juste, faux – est presque instinctif. Le jugement pourrait ainsi être une conséquence naturelle de notre besoin de comprendre notre environnement.
Mais une question demeure : juger est-il une part inévitable de notre humanité, ou pouvons-nous apprendre à observer sans condamner ? Peut-être que notre défi n’est pas d’arrêter de juger, mais de le faire avec plus de conscience et de compassion.
Le Chat :
Je vais réfléchir à la question de savoir pourquoi les humains jugent. Le jugement est une partie intégrante de la cognition humaine et peut être influencé par divers facteurs.
Tout d’abord, il est important de comprendre que le jugement est une fonction cognitive qui permet aux humains de prendre des décisions et de naviguer dans leur environnement social. Voici quelques raisons pour lesquelles les humains jugent :
Survie et sécurité : Depuis les temps primitifs, les humains ont dû juger rapidement les situations et les personnes pour assurer leur survie. Par exemple, juger si une personne est une menace ou non.
Normes sociales : Les humains vivent en société et suivent des normes et des valeurs qui dictent ce qui est acceptable ou non. Juger permet de maintenir ces normes et de s’assurer que tout le monde se comporte de manière appropriée.
Identité et appartenance : Juger les autres peut aussi renforcer notre propre identité et notre sentiment d’appartenance à un groupe. En jugeant, nous définissons ce que nous sommes et ce que nous ne sommes pas.
Morale et éthique : Les humains ont un sens moral qui les pousse à évaluer les actions des autres en termes de bien et de mal. Cela permet de promouvoir des comportements prosociaux et de décourager les comportements nuisibles.
Simplification : Juger permet de simplifier un monde complexe. En catégorisant les personnes et les situations, nous pouvons prendre des décisions plus rapidement.
Apprentissage et adaptation : En jugeant les actions des autres, nous pouvons apprendre de leurs erreurs et adapter notre propre comportement en conséquence.
Cependant, il est aussi important de noter que le jugement peut avoir des effets négatifs, comme les préjugés et les discriminations, qui peuvent nuire aux relations sociales et à la cohésion de la communauté.
Pour fournir une réponse complète, je vais faire une recherche sur le web pour voir s’il y a des informations récentes ou des études sur ce sujet.
Pourquoi les humains jugent-ils ? Voici quelques raisons principales :
Survie et sécurité : Juger permet de prendre des décisions rapides pour assurer la sécurité et la survie.
Normes sociales : Les humains jugent pour maintenir les normes et les valeurs de leur société.
Identité et appartenance : Juger aide à renforcer l’identité personnelle et le sentiment d’appartenance à un groupe.
Morale et éthique : Les humains évaluent les actions des autres en termes de bien et de mal pour promouvoir des comportements prosociaux.
Simplification : Juger permet de simplifier un monde complexe en catégorisant les personnes et les situations.
Apprentissage et adaptation : En jugeant les actions des autres, nous apprenons et adaptons notre propre comportement.
Cependant, le jugement peut aussi conduire à des préjugés et à des discriminations, ce qui peut nuire aux relations sociales et à la cohésion de la communauté.
Pour une réponse plus détaillée et basée sur des études récentes, je vais effectuer une recherche sur le web.
Recherche
web
effectuée
"pourquoi les humains jugent raisons psychologiques sociologiques"
La recherche sur le web a donné plusieurs résultats pertinents. Je vais les passer en revue pour extraire des informations supplémentaires sur pourquoi les humains jugent.
Théories du comportement humain et configurations sociales de l’individu : Cet article de Sociologie et sociétés discute des théories du comportement humain et des configurations sociales de l’individu. Il mentionne que les théories sont produites par les disciplines psychologique et sociologique, et que l’individu est le lieu immédiat des réalités sociales1.
Psychologie sociale — Wikipédia : Cet article de Wikipédia sur la psychologie sociale explique que les psychologues sociaux étudient les processus mentaux impliqués dans les comportements humains liés aux interactions sociales. Il mentionne aussi que la psychologie sociale est parfois considérée comme un domaine interdisciplinaire situé à l’intersection de la psychologie et de la sociologie2.
Juger et estimer la valeur d’autrui : des biais de jugement aux compétences sociales : Cet article discute de la manière dont juger et estimer la valeur d’autrui est un acte social complexe. Il mentionne que l’étude des pratiques d’évaluation est un thème central en sciences de l’éducation et que les chercheurs en psychologie utilisent souvent le contexte scolaire comme lieu d’observation privilégié pour étudier les processus de jugement social3.
Pourquoi est-ce que les gens jugent les autres ? - Quora : Une réponse sur Quora suggère que le fait de juger les autres est une façon de ne pas regarder nos propres défauts, peurs et manques. Cela aurait plus à voir avec le peu d’estime de soi que le comportement de celui/celle qui est jugé(e)4.
Qu’est-ce qu’un fait social ? - Émile Durkheim - Cahiers de Psychologie Politique : Cet article discute des faits sociaux et de leur relation avec la sociologie et la psychologie. Il mentionne que chaque individu boit, dort, mange, raisonne, et que la société a tout intérêt à ce que ces fonctions s’exercent régulièrement5.
ATTITUDE, Recherches sociologiques et psychologiques - Encyclopædia Universalis : Cet article discute de la notion d’attitude et de son importance dans l’analyse des phénomènes comme les préjugés raciaux. Il mentionne que les sociologues américains se sont penchés sur le problème des préjugés raciaux6.
Qu’est ce que la psychologie sociale ? Compréhension des comportements : Cet article explique que la psychologie sociale est une discipline qui utilise les méthodes scientifiques pour comprendre et expliquer comment les pensées, les sentiments et les comportements des individus sont influencés par la présence réelle, imaginée ou implicite d’autres êtres humains7.
Les rapports entre la sociologie et la psychologie - Partie 3 : Cet article discute des rapports entre la sociologie et la psychologie, et de l’influence des groupements humains sur l’état psychique des individus8.
Les besoins psychiques de l’homme et la société | Cairn.info : Cet article discute des besoins psychiques de l’homme et de leur relation avec la société. Il mentionne que l’homme est inclus dans la nature et la transcende, et que cette situation crée des passions, des peurs et des nécessités spécifiques9.
En combinant ces informations avec ce que je sais déjà, je peux fournir une réponse plus complète et nuancée à la question de pourquoi les humains jugent.
Les humains jugent pour plusieurs raisons, qui peuvent être catégorisées en plusieurs domaines :
Survie et sécurité : Depuis les temps primitifs, les humains ont dû juger rapidement les situations et les personnes pour assurer leur survie. Par exemple, juger si une personne est une menace ou non.
Normes sociales : Les humains vivent en société et suivent des normes et des valeurs qui dictent ce qui est acceptable ou non. Juger permet de maintenir ces normes et de s’assurer que tout le monde se comporte de manière appropriée.
Identité et appartenance : Juger les autres peut aussi renforcer notre propre identité et notre sentiment d’appartenance à un groupe. En jugeant, nous définissons ce que nous sommes et ce que nous ne sommes pas.
Morale et éthique : Les humains ont un sens moral qui les pousse à évaluer les actions des autres en termes de bien et de mal. Cela permet de promouvoir des comportements prosociaux et de décourager les comportements nuisibles.
Simplification : Juger permet de simplifier un monde complexe. En catégorisant les personnes et les situations, nous pouvons prendre des décisions plus rapidement.
Apprentissage et adaptation : En jugeant les actions des autres, nous pouvons apprendre de leurs erreurs et adapter notre propre comportement en conséquence.
Estime de soi : Juger les autres peut être une façon de ne pas regarder nos propres défauts, peurs et manques. Cela peut être lié au peu d’estime de soi.
Processus mentaux et interactions sociales : Les psychologues sociaux étudient les processus mentaux impliqués dans les comportements humains liés aux interactions sociales. Juger est une partie de ces processus mentaux.
Biais psychologiques et effets de socialisation : Les comportements qui relèvent de biais psychologiques ou d’effets de socialisation peuvent influencer la manière dont nous jugeons les autres.
Complexité des relations sociales : Juger et estimer la valeur d’autrui est un acte éminemment social qui implique des relations interpersonnelles complexes.
En conclusion, le jugement est une partie intégrante de la cognition humaine et est influencé par une variété de facteurs psychologiques, sociologiques et évolutifs. Il permet aux individus de naviguer dans leur environnement social, de maintenir des normes, de renforcer leur identité et de prendre des décisions rapides. Cependant, il est important de noter que le jugement peut aussi conduire à des préjugés et à des discriminations, ce qui peut nuire aux relations sociales et à la cohésion de la communauté.
Les humains jugent pour plusieurs raisons, qui peuvent être catégorisées en plusieurs domaines :
Survie et sécurité : Depuis les temps primitifs, les humains ont dû juger rapidement les situations et les personnes pour assurer leur survie. Par exemple, juger si une personne est une menace ou non.
Normes sociales : Les humains vivent en société et suivent des normes et des valeurs qui dictent ce qui est acceptable ou non. Juger permet de maintenir ces normes et de s’assurer que tout le monde se comporte de manière appropriée.
Identité et appartenance : Juger les autres peut aussi renforcer notre propre identité et notre sentiment d’appartenance à un groupe. En jugeant, nous définissons ce que nous sommes et ce que nous ne sommes pas.
Morale et éthique : Les humains ont un sens moral qui les pousse à évaluer les actions des autres en termes de bien et de mal. Cela permet de promouvoir des comportements prosociaux et de décourager les comportements nuisibles.
Simplification : Juger permet de simplifier un monde complexe. En catégorisant les personnes et les situations, nous pouvons prendre des décisions plus rapidement.
Apprentissage et adaptation : En jugeant les actions des autres, nous pouvons apprendre de leurs erreurs et adapter notre propre comportement en conséquence.
Estime de soi : Juger les autres peut être une façon de ne pas regarder nos propres défauts, peurs et manques. Cela peut être lié au peu d’estime de soi.
Processus mentaux et interactions sociales : Les psychologues sociaux étudient les processus mentaux impliqués dans les comportements humains liés aux interactions sociales. Juger est une partie de ces processus mentaux.
Biais psychologiques et effets de socialisation : Les comportements qui relèvent de biais psychologiques ou d’effets de socialisation peuvent influencer la manière dont nous jugeons les autres.
Complexité des relations sociales : Juger et estimer la valeur d’autrui est un acte éminemment social qui implique des relations interpersonnelles complexes.
En conclusion, le jugement est une partie intégrante de la cognition humaine et est influencé par une variété de facteurs psychologiques, sociologiques et évolutifs. Il permet aux individus de naviguer dans leur environnement social, de maintenir des normes, de renforcer leur identité et de prendre des décisions rapides. Cependant, il est important de noter que le jugement peut aussi conduire à des préjugés et à des discriminations, ce qui peut nuire aux relations sociales et à la cohésion de la communauté.
Sources
1
erudit.org
Théories du comportement humain et configurations sociales de l’individu – Sociologie et sociétés
11/09/2009 - Théories du comportement humain et configurations sociales de l’individu. An article from journal Sociologie et sociétés (Sociologies et société des individus), on Érudit.
2
fr.wikipedia.org
Psychologie sociale — Wikipédia
05/06/2025 - Edward Jones conclut toutefois à la catégorisation de la psychologie sociale comme une sous discipline de la psychologie en comparant le volume de production scientifique dans le domaine attribué à des psychologues à celui attribué à des sociologues. En France et en Belgique, les diplômes de master et de doctorat en psychologie sociale sont délivrés dans le cadre d’un cursus en psychologie.
3
journals.openedition.org
Juger et estimer la valeur d’autrui : des biais de jugement aux compétences sociales
18/07/2001 - Juger et estimer la valeur d’autrui Juger quelqu’un est un acte éminemment social à plus d’un titre. Non seulement la cible et la source du jugement sont engagées dans une relation interpersonnelle.
4
fr.quora.com
Pourquoi est-ce que les gens jugent les autres ? - Quora
Réponse : En général, je crois que le fait de juger les autres est une façon de ne pas regarder nos défauts, nos peurs et nos manques. C’a bien plus a voir avec le peu d’estime de soi que le comportement de celui/celle qui est jugé(e)
5
cpp.numerev.com
Qu’est-ce qu’un fait social ? - Émile Durkheim - Cahiers de Psychologie Politique
08/01/2005 - S’il en a été ainsi des sciences naturelles, à plus forte raison en devait-il être de même pour la sociologie.
6
universalis.fr
ATTITUDE, Recherches sociologiques et psychologiques - Encyclopædia Universalis
Mais la notion d’attitude s’est surtout imposée à partir du moment où les sociologues américains, obéissant à une contrainte ou à un besoin social diffus, se sont mis à se pencher sur le problème des préjugés raciaux.
7
lps-aix.com
Qu’est ce que la psychologie sociale ? Compréhension des comportements
18/10/2024 - Il est important de distinguer la psychologie sociale de quelques sujets similaires et apparentés. En effet, la psychologie sociale est souvent confondue avec la sagesse populaire, la psychologie de la personnalité et la sociologie. Alors, qu’est ce qui différencie cette science des autres ?
8
carnets2psycho.net
Les rapports entre la sociologie et la psychologie - Partie 3
L’homme complètement isolé, restant en dehors de la société, nous est inconnu, il n’existe pas. L’importance de la matière fournie à la psychologie par la sociologie qui, sous ce rapport, fait plus pour l’étude des faits psychiques que n’importe quelle autre science, devient ainsi facilement compréhensible.
9
cairn.info
Les besoins psychiques de l’homme et la société | Cairn.info
01/12/2005 - 14 Un autre point, de nature plus sociologique, a une pertinence immédiate par rapport à l’ensemble du sujet en question.
Gemini :
Le jugement est une **caractéristique profondément humaine et complexe**, qui puise ses racines dans des besoins psychologiques et évolutifs. Voici les principales raisons pour lesquelles les humains jugent :
— -
### 1. Survie et protection
Historiquement, le jugement a été essentiel pour la survie. Évaluer rapidement si une personne ou une situation représente une menace ou une opportunité permettait à nos ancêtres de prendre des décisions cruciales. Aujourd’hui, même si les menaces sont différentes, notre cerveau conserve cette tendance à **catégoriser et évaluer** pour assurer notre sécurité et notre bien-être.
— -
### 2. Compréhension et maîtrise de l’environnement
Nous cherchons constamment à **comprendre et prédire** le monde qui nous entoure. Juger les autres nous aide à les "ranger dans des cases", à les comprendre et à anticiper leurs comportements. Cela nous donne un sentiment de maîtrise et de contrôle sur notre environnement social, ce qui est fondamental pour notre équilibre psychologique.
— -
### 3. Renforcement de l’estime de soi et identification sociale
* **Comparaison sociale :** Juger les autres peut être une façon de se rassurer sur qui nous sommes, en nous comparant à ceux que nous percevons comme "moins bien" ou "différents". Cela peut renforcer notre propre estime de soi, même si cette approche est souvent superficielle et contre-productive à long terme.
* **Appartenance au groupe :** Le jugement social aide à définir les normes et les valeurs d’un groupe. En jugeant ce qui est acceptable ou non, nous renforçons les liens au sein de notre propre groupe social et nous nous différencions des "autres".
— -
### 4. Biais cognitifs et raccourcis mentaux
Notre cerveau est constamment exposé à une quantité massive d’informations. Pour fonctionner efficacement, il utilise des **raccourcis mentaux**, appelés **biais cognitifs**. Ces biais peuvent altérer notre jugement et nous pousser à des évaluations rapides, parfois inexactes, basées sur des informations limitées ou des stéréotypes préexistants. Parmi eux, on retrouve :
* **Le biais de confirmation :** Tendance à rechercher et interpréter les informations de manière à confirmer nos croyances existantes.
* **L’effet de halo :** Lorsqu’une première impression positive ou négative sur une personne influence la perception globale de ses autres qualités.
* **Le biais d’attribution :** Tendance à attribuer nos succès à nos propres qualités et nos échecs à des facteurs externes, tandis que nous faisons l’inverse pour les autres.
— -
### 5. Reflet de nos propres insécurités et frustrations
Souvent, nos jugements envers les autres sont le miroir de nos propres peurs, doutes, insécurités ou frustrations. Ce que nous critiquons chez autrui peut révéler des aspects de nous-mêmes que nous n’acceptons pas ou des situations que nous avons du mal à gérer.
— -
### L’impact du jugement
Bien que le jugement puisse avoir des fonctions adaptatives, il est crucial de reconnaître qu’il peut aussi être **destructeur** pour les relations sociales, entraîner des préjugés, de la discrimination et empêcher une véritable compréhension de l’autre.
Prendre conscience de nos propres mécanismes de jugement est la première étape pour développer une approche plus empathique et nuancée envers les autres.
Perplexity :
Sélectionner le texte
en.wikipedia.org favicon
1. Wikimedia Foundation, Inc.
en.wikipedia.org/wiki/Evolution…
Evolution of morality - Wikipedia
The concept of the evolution of morality refers to the emergence of human moral behavior over the course of human evolution. Morality can be defined as a system of ideas about right and wrong conduct. In everyday life, morality is typically associated with human behavior rather than animal behavior. The emerging fields of evolutionary biology, and in particular evolutionary psychology, have argued that, despite the complexity of human social behaviors, the precursors of human morality can be...
2. Philosophical Transactions of the Royal Society B : Biological Sciences
pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC23…
Social brains, simple minds : does social complexity really require ...
The social brain hypothesis is a well-accepted and well-supported evolutionary theory of enlarged brain size in the non-human primates. Nevertheless, it tends to emphasize an anthropocentric view of social life and cognition. This often leads to ...
3. Annual review of psychology
pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC25…
The Social Brain : Neural Basis of Social Knowledge - PubMed Central
Social cognition in humans is distinguished by psychological processes that allow us to make inferences about what is going on inside other people—their intentions, feelings, and thoughts. Some of these processes likely account for aspects of human ...
academic.oup.com favicon
4. academic.oup.com
academic.oup.com/book/12450/cha…
The social brain hypothesis : An evolutionary perspective on the ...
Published:August 2012 *I Know What You’re Thinking : Brain imaging and mental privacy*( This chapter defends a version of the social brain hypothesis, focusing especially on the cognitive powers involved in the ‘Theory of Mind’ that humans are thought to deploy in order to attribute mental states to each other. The size of the human brain is not a new discovery (and does not need any sophisticated technology to establish it) : the innovative contribution of neuroscience to this area of study,...
pnas.org favicon
5. PNAS
pnas.org/doi/10.1073/pn…
Explaining the evolution of gossip - PNAS
Gossip, the exchange of personal information about absent third parties, is ubiquitous in human societies. However, the evolution of gossip remains...
image
news.stanford.edu favicon
6. Stanford University
news.stanford.edu/stories/2024/0…
Why gossipers have an evolutionary edge - Stanford Report
According to a new theoretical model, talking about other people behind their backs can encourage cooperation.
image
simplypsychology.org favicon
7. Simply Psychology
simplypsychology.org/social-identit…
Social Identity Theory In Psychology (Tajfel & Turner, 1979)
Social Identity Theory, developed by Henri Tajfel, explains how individuals define themselves based on their group memberships, such as nationality, religion, or social class. It suggests that people seek to enhance their self-esteem by identifying with in-groups and differentiating from out-groups. This can lead to group favoritism, prejudice, and stereotyping as people favor those who belong to their own group.
thedecisionlab.com favicon
8. The Decision Lab
thedecisionlab.com/reference-guid…
Social Identity Theory - The Decision Lab
Social identity theory is a psychological framework that explains how people build their sense of self and confidence from the groups they belong to. It shows how belonging to a group can lead to favoritism and contribute to stereotypes, bias, or unfair treatment toward those outside the group.
onlinelibrary.wiley.com favicon
9. wiley
onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.100…
The “Black Sheep Effect” : Extremity of judgments towards ingroup ...
AbstractThe present study proposes an extension to the phenomenon of ingroup favouritism, based on the hypothesis that judgments about ingroup members may be more positive or more negative than judgments about similar outgroup members. It contrasts predictions issued from the complexity‐extremity hypothesis (Linville, 1982 ; Linville and Jones, 1980), from the ingroup favouritism hypothesis (Tajfel, 1982) and from Tesser’s (1978 ; Millar and Tesser, 1986) attitude polarization model. Our main prediction, based on Social Identity Theory, is that judgments about both likeable and unlikeable ingroup members are more extreme than judgments about outgroup members. This phenomenon, coined the Black Sheep Effect, is viewed as due to the relevance that ingroup members’behaviour, as compared to that of outgroup members, has for the subjects’ social identity. Three experiments supported our predictions. Experiment I additionally showed that inter‐trait correlations were stronger for the ingroup than for the outgroup. Experiment 2 showed that the black sheep effect occurs only when the judgmental cues are relevant for the subjects’ social identity, and Experiment 3 showed that levels of information about the target of the judgment were ineffective in generating judgmental extremity. Results are discussed in light of a cognitive‐motivational alternative explanation to a purely cognitive interpretation of outgroup homogeneity.
stateofmind.it favicon
10. State of Mind di inTHERAPY
stateofmind.it/2015/01/identi…
Black sheep effect and the identification with group - State of Mind
The study considered the conjoint effect of identification and entitativity on the ingroup derogation and the presence of the black sheep -Social Psychology
en.wikipedia.org favicon
11. Wikimedia Foundation, Inc.
en.wikipedia.org/wiki/Moral_fou…
Moral foundations theory - Wikipedia
Moral foundations theory is a social psychological theory intended to explain the origins of and variation in human moral reasoning on the basis of innate, modular foundations. It was first proposed by the psychologists Jonathan Haidt, Craig Joseph, and Jesse Graham, building on the work of cultural anthropologist Richard Shweder. More recently, Mohammad Atari, Jesse Graham, and Jonathan Haidt have revised some aspects of the theory and developed new measurement tools. The theory has been...
12. Phenomenology and the Cognitive Sciences
pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC10…
Moral foundations theory and the narrative self - PubMed Central
Within the empirical study of moral decision making, people’s morality is often identified by measuring general moral values through a questionnaire, such as the Moral Foundations Questionnaire provided by Moral Foundations Theory (MFT). However, ...
thefoodlives.com favicon
13. TheFoodlives
thefoodlives.com/gossip-an-evol…
Gossip : An evolutionary and philosophical take - TheFoodlives
Did you know that gossip is an evolutionary up gradation tool ? And here we were always taught from our school days that gossiping is bad
en.wikipedia.org favicon
14. Wikimedia Foundation, Inc.
en.wikipedia.org/wiki/Social_co…
Social comparison theory - Wikipedia
Leon Festinger was an American psychologist who developed the concept of social comparison theory. Festinger put forward many hypotheses about social comparison theory. First, he explained that humans always examine their own views and capabilities in comparison with other people and have the urge to evaluate themselves accordingly. In addition, he argued that these comparisons tend to decrease as the difference between oneself and the other individual with whom one compares oneself begins to...
verywellmind.com favicon
15. verywellmind
verywellmind.com/what-is-the-so…
How Social Comparison Theory Influences Our Views on Ourselves
Learn about social comparison theory, which is the process people go through to know themselves in comparison to other people, including its history and examples.
image
16. International journal of nursing and health care research
pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC87…
An Examination using Social Comparison Theory
The COVID-19 crisis transformed the way we communicate with each other. Pre-existing theoretical frameworks can build structure out of the chaos ; social-interaction theory is one of these. During our social distancing and prior to the vaccine’s ...
17. Journal of Educational, Cultural and Psychological Studies (ECPS Journal)
ledonline.it/index.php/ECPS…
Black » : Social Comparison as a Standard for Ingroup Evaluation in ...
When the Black Sheep Is Not So « Black » : Social Comparison as a Standard for Ingroup Evaluation in Classrooms
journaldemontreal.com favicon
18. Le Journal de Montréal
journaldemontreal.com/2023/05/28/psy…
Psycho : comprendre la fameuse « projection - Le Journal de Montréal
Le phénomène de la projection n’est pas toujours aussi excessif, mais peut brouiller nos rapports avec les autres, même les gens qu’on aime.
simplypsychology.org favicon
19. Simply Psychology
simplypsychology.org/psychological-…
Psychological Projection (+ Examples)
Projection is a psychological defense mechanism that involves attributing one’s undesirable traits, feelings, or impulses to other people.
verywellmind.com favicon
20. verywellmind
verywellmind.com/what-is-a-proj…
Projection as a Defense Mechanism - Verywell Mind
Projection is when one sees the traits that they find unacceptable in themselves in others. Learn about the origin and impact of the defense mechanism projection.
image
simplypsychology.org favicon
21. Simply Psychology
simplypsychology.org/fundamental-at…
Fundamental Attribution Error Theory in Psychology
The fundamental attribution error (also known as correspondence bias or over-attribution effect) is the tendency for people to over-emphasize dispositional or
en.wikipedia.org favicon
22. Wikimedia Foundation, Inc.
en.wikipedia.org/wiki/Fundament…
Fundamental attribution error - Wikipedia
(Redirected from Correspondence bias) In social psychology, the fundamental attribution error is a cognitive attribution bias in which observers underemphasize situational and environmental factors for the behavior of an actor while overemphasizing dispositional or personality factors. In other words, observers tend to overattribute the behaviors of others to their personality (e.g., *he is late because he’s selfish*) and underattribute them to the situation or context (e.g., *he is late...
image
melchior.fr favicon
23. melchior.fr
melchior.fr/note-de-lectur…
Pourquoi nous faisons des erreurs de jugement et comment les éviter
L’ouvrage Daniel Kahneman, Olivier Sibony et Cass Sunstein décryptent dans cet ouvrage les mécanismes de l’erreur humaine au sein des entreprises et des administrations, c’est-à-dire la différence entre le jugement produit par ceux qui décident (les « juges »), et la valeur vraie. Les deux rouages principaux de ces erreurs sont le biais et le bruit :
overcominghateportal.org favicon
24. overcominghateportal
overcominghateportal.org/uploads/5/4/1/…
[PDF] Selective deficit in personal moral judgment following damage to ...
following damage to ventromedial prefrontal cortex Elisa Ciaramelli,1,2 Michela Muccioli,2 Elisabetta Ladavas,1,2 and Giuseppe di Pellegrino1,2 1Dipartimento di Psicologia, Universita di Bologna, Bologna, Italy, and 2Centro Studi e Ricerche di Neuroscienze Cognitive, Cesena, Italy Recent fMRI evidence has detected increased medial prefrontal activation during contemplation of personal moral dilemmas compared to impersonal ones, which suggests that this cortical region plays a role in personal...
25. Frontiers in Neuroscience
pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC80…
Regional and Temporal Differences in Brain Activity With Morally ...
Many neuroimaging studies on morality focus on functional brain areas that relate to moral judgment specifically in morally negative situations. To date, there have been few studies on differences in brain activity under conditions of being morally ...
elifesciences.org favicon
26. Elife Sciences Publications, Ltd
elifesciences.org/articles/40671
A causal role for right temporo-parietal junction in signaling moral ...
Disrupting the right temporo-parietal junction did not change the general motivation to give or adapt behavior to social reputation cues, but specifically reduced the impact of moral-material conflict.
frontiersin.org favicon
27. Frontiers
frontiersin.org/journals/integ…
How does morality work in the brain ? A functional and structural ...
Neural underpinnings of morality are not well understood yet. Researchers in moral neuroscience have tried to find specific structures and processes that she...
nature.com favicon
28. Nature
nature.com/articles/s4159…
Neural underpinnings of morality judgment and moral aesthetic ...
Morality judgment usually refers to the evaluation of moral behaviors ability to affect others
interests and welfare, while moral aesthetic judgment often implies the appraisal of moral behavior’s capability to provide aesthetic pleasure. Both are based on the behavioral understanding. To our knowledge, no study has directly compared the brain activity of these two types of judgments. The present study recorded and analyzed brain activity involved in the morality and moral aesthetic judgments to reveal whether these two types of judgments differ in their neural underpinnings. Results reveled that morality judgment activated the frontal, parietal and occipital cortex previously reported for motor representations of behavior. Evaluation of goodness and badness showed similar patterns of activation in these brain regions. In contrast, moral aesthetic judgment elicited specific activations in the frontal, parietal and temporal cortex proved to be involved in the behavioral intentions and emotions. Evaluation of beauty and ugliness showed similar patterns of activation in these brain regions. Our findings indicate that morality judgment and moral aesthetic judgment recruit different cortical networks that might decode others’ behaviors at different levels. These results contribute to further understanding of the essence of the relationship between morality judgment and aesthetic judgment.
image
29. Nature
pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC22…
Damage to the prefrontal cortex increases utilitarian moral judgements
The psychological and neurobiological processes underlying moral judgement have been the focus of many recent empirical studies1–11. Of central interest is whether emotions play a causal role in moral judgement, and, in parallel, how emotion-related ...
frontiersin.org favicon
30. frontiersin
frontiersin.org/journals/human…
[PDF] An emotion regulation role of ventromedial prefrontal cortex in moral ...
published : 28 October 2014 doi : 10.3389/fnhum.2014.00873 An emotion regulation role of ventromedial prefrontal cortex in moral judgment Chuanpeng Hu 1* and Xiaoming Jiang 2* 1 Department of Psychology, School of Social Science, Tsinghua University, Beijing, China 2 School of Communication Sciences and Disorders, Faculty of Medicine, McGill University, Montréal, QC, Canada *Correspondence : hcp4715@gmail.com ; xmjiang1983@gmail.com Edited by : Alexander J. Shackman, University of Maryland, USA...
news.ucsb.edu favicon
31. The Current
news.ucsb.edu/2023/021196/mo…
Moral reasoning displays characteristic patterns in the brain, with ...
Study finds shared and distinct brain networks for moral reasoning, with differing neural responses between liberals and conservatives.
moralfoundations.org favicon
32. moralfoundations.org
moralfoundations.org
Moral Foundations Theory | moralfoundations.org
Moral Foundations Theory (MFT) was developed by a team of social and cultural psychologists, primarily Jonathan Haidt and Jesse Graham, to explore why, despite vast differences across cultures, morality often has shared themes and similarities across populations. In essence, MFT suggests that there are several innate psychological systems at the core of our “intuitive ethics.” Cultures then build virtues, narratives, and institutions upon these foundational systems, resulting in the diverse...
33. plato.stanford.edu
plato.stanford.edu/archIves/fall2…
Morality and Evolutionary Biology
*First published Fri Dec 19, 2008 ; substantive revision Wed Dec 23, 2020* An article in *The Economist* (21 February 2008, “Moral thinking”), sporting the provocative subtitle “Biology Invades a Field Philosophers Thought was Safely Theirs”, begins with the following rumination : Whence morality ? That is a question which has troubled philosophers since their subject was invented. Two and a half millennia of debate have, however, failed to produce a satisfactory answer. So now it is time for...
34. Neuropsychologia
pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC58…
Damage to the ventromedial prefrontal cortex is associated with ...
Implicit moral evaluations—spontaneous, unintentional judgments about the moral status of actions or persons—are thought to play a pivotal role in moral experience, suggesting a need for research to model these moral evaluations in clinical ...
pnas.org favicon
35. PNAS
pnas.org/doi/10.1073/pn…
Breakdown of utilitarian moral judgement after basolateral amygdala ...
Most of us would regard killing another person as morally wrong, but when the death of one saves multiple others, it can be morally permitted. Acco...
image
36. demenzemedicinagenerale
demenzemedicinagenerale.net/images/pdf/Gre…
[PDF] The Cognitive Neuroscience of Moral Judgment Joshua D. Greene ...
7 al., 2001 ; Moll et al., 2002a ; Moll et al., 2002b) and identified a suite of brain regions that are sensitive to moral stimuli including the OFC, mPFC, frontal pole, PCC/precuneus, superior temporal sulcus (STS), and temporal pole. This approach, while informative, depends critically on the choice of non-moral control stimuli and the assumption that the observed results are in some way specific to morality (Greene and Haidt, 2002). More recent functional imaging studies have focused on...
psychologies.com favicon
37. Psychologies.com
psychologies.com/Moi/Se-connait…
Je juge tout le monde - Psychologies.com
Ils ont une opinion sur chacun, et nul ne trouve grâce à leurs yeux. Incapables de tolérance, le jugement est devenu pour eux une façon d’exister. Que cachent leurs critiques acerbes ?
38. Philosophical Transactions of the Royal Society B : Biological Sciences
royalsocietypublishing.org/doi/10.1098/rs…
Experts in action : why we need an embodied social brain hypothesis
The anthropoid primates are known for their intense sociality and large brain size. The idea that these might be causally related has given rise to a large body of work testing the ‘social brain hypothesis’. Here, the emphasis has been placed on the ...
image
thedecisionlab.com favicon
39. The Decision Lab
thedecisionlab.com/biases/fundame…
Fundamental Attribution Error - The Decision Lab
The fundamental attribution error is a phenomenon explaining why people attribute behavior based on personal judgement and disregard situational influences.
en.wikipedia.org favicon
40. Wikimedia Foundation, Inc.
en.wikipedia.org/wiki/In-group_…
In-group and out-group - Wikipedia
en.wikipedia.org favicon
41. Wikimedia Foundation, Inc.
en.wikipedia.org/wiki/Cognitive…
Cognitive bias - Wikipedia
Part of a series on Psychology - Outline - History - Subfields - Psychology portal A cognitive bias is a systematic pattern of deviation from norm or rationality in judgment. Individuals create their own "subjective reality" from their perception of the input. An individual’s construction of reality, not the objective input, may dictate their behavior in the world. Thus, cognitive biases may sometimes lead to perceptual distortion, inaccurate judgment, illogical interpretation, and...
image
ergomanagement.fr favicon
42. Ergomanagement
ergomanagement.fr/comment-eviter…
Comment éviter les jugements critiques sur autrui pour favoriser une ...
Critiquer ses collègues est un sport national, parait-il. Oui mais... à terme, il nuit à la coopération. Alors, comment l’éviter ?
43. ac
eprints.whiterose.ac.uk/id/eprint/1788…
[PDF] Gossip as evaluative sensemaking and the concealment of ...
quences” (Mikkelsen and Wåhlin, 2020 : 571). In our research on gossip, we also illustrate how employees at lower levels in the organizational hierarchy draw on different experiences in processes of collective meaning construction that ena- bles forms of critical evaluative sensemaking that counter the dominant managerial narrative. Our concern is with gossip as an evaluative sensemaking process and with the secrecy of confidential gossip in allowing for more radical interpretations and...
talkspace.com favicon
44. Talkspace
talkspace.com/blog/projectio…
Projection as a Defense Mechanism - Talkspace
When people project, they associate their negative thoughts, emotions, or behaviors with another person. Learn more about projection as a defense mechanism.
sciencedirect.com favicon
45. sciencedirect
sciencedirect.com/science/articl…
Increasing the role of belief information in moral judgments by ...
Morality plays a vital role in our social life. A vast body of research has suggested that moral judgments rely on cognitive processes mediated by the right temporoparietal junction (rTPJ), an area thought to be involved in belief attribution. Here we assessed the role of the rTPJ in moral judgments directly by means of transcranial direct current stimulation (tDCS)—a non-invasive brain stimulation technique that, by applying a weak current to the scalp, allows modulating cortical excitability of the area being stimulated. Participants were randomly and equally assigned to receive anodal stimulation (to increase cortical excitability), cathodal stimulation (to decrease cortical excitability), or sham (placebo) stimulation over the rTPJ before completing a moral judgment task. Participants read stories in which protagonists produced either a negative or a neutral outcome based on either a negative or a neutral belief that they were causing harm or no harm, respectively. Results revealed a selective group difference when judging the moral permissibility of accidental harms (belief neutral, outcome negative), but not intentional harms (belief negative, outcome negative), attempted harms (belief negative, outcome neutral), or neutral acts (belief neutral, outcome neutral). Specifically, participants who received anodal stimulation assigned less blame to accidental harms compared to participants who received cathodal or sham stimulation. These results are consistent with previous findings showing that the degree of rTPJ activation reflects reliance on the agent’s innocent intention. Crucially, our findings provide direct evidence supporting the critical role of the rTPJ in mediating belief attribution for moral judgment.
rips-irsp.com favicon
46. International Review of Social Psychology
rips-irsp.com/articles/10.53…
Research article - International Review of Social Psychology
In this paper we describe a bottom-up exploration of the social evaluations that emerge from the gossip people hear about others in a workplace context. We used the Dual Perspective Model (DPM : Abele & Wojciszke, 2007, 2014, 2018) to code open-format gossip stories provided by 522 participants for evaluations of gossip targets’ warmth and morality (i.e., communion) and competence and assertiveness (i.e., agency). We additionally coded evaluations of work-effort, self-control, and stress, as well as the gossip topic. Our analysis revealed that communion facet evaluations were more frequent than agency facet evaluations. Additionally, gossip was predominantly negative, reflecting the fact that evaluations usually conveyed information about low warmth, morality and competence ; assertiveness was an exception, with high evaluations more common than low. These negative evaluations were most frequently contained in gossip about the negative character of the target and work-related norm transgressions. Our analysis further revealed distinct patterns of co-occurrence for the DPM facets, providing further evidence of the utility of distinguishing not only between the major dimensions of social evaluation, but also their facets. This research provides new insights regarding the variety, prevalence, and valence of social evaluations that emerge from workplace gossip. Most important in the present context, it shows the usefulness of the DPM facets in understanding the content of gossip.
performanse.com favicon
47. PerformanSe
performanse.com/en/blog/articl…
Cognitive biases and decisions : when facts interpreted...
Understand how cognitive biases influence decision-making, and develop the skills to recognize and mitigate them for greater objectivity.
Évalué
bertramgawronski
bertramgawronski.com/documents/GBB2…
[PDF] Ingroup construal as a standard of comparison for outgroup judgments
www.elsevier.com/locate/jesp 0022-1031/$ - see front matter 2005 Elsevier Inc. All rights reserved. doi:10.1016/j.jesp.2004.11.002 We are, therefore they aren’t : Ingroup construal as a standard of comparison for outgroup judgments� Bertram Gawronskia,¤, Galen V. Bodenhausenb, Rainer Bansec a Department of Psychology, University of Western Ontario, Social Science Centre, London, Ont., Canada N6A 5C2 b Department of Psychology, Northwestern University, 2029 Sheridan Road, Evanston, IL...
nbs-factory.com favicon
nbs-factory.com
nbs-factory.com/understanding-…
Understanding Cognitive Biases : How They Shape Our Decisions
A Deep Dive into Cognitive Biases and Their Influence on Decision-Making, Perception, and Social Interactions.
en.wikipedia.org favicon
Wikimedia Foundation, Inc.
en.wikipedia.org/wiki/Evolution…
Evolutionary ethics - Wikipedia
Part of a series on Evolutionary biology - Evolutionary biology portal - Category Evolutionary ethics is a field of inquiry that explores how evolutionary theory might bear on our understanding of ethics or morality. The range of issues investigated by evolutionary ethics is quite broad. Supporters of evolutionary ethics have argued that it has important implications in the fields of descriptive ethics, normative ethics, and metaethics. Descriptive evolutionary ethics consists of biological...
research.vu.nl favicon
Vrije Universiteit Amsterdam
research.vu.nl/en/publication…
What do we talk about when we talk about others ? Evidence for the ...
In this paper we describe a bottom-up exploration of the social evaluations that emerge from the gossip people hear about others in a workplace context. We used the Dual Perspective Model (DPM : Abele & Wojciszke, 2007, 2014, 2018) to code open-format gossip stories provided by 522 participants for evaluations of gossip targets’ warmth and morality (i.e., communion) and competence and assertiveness (i.e., agency). We additionally coded evaluations of work-effort, self-control, and stress, as...
image
en.wikipedia.org favicon
Wikimedia Foundation, Inc.
en.wikipedia.org/wiki/List_of_c…
List of cognitive biases - Wikipedia
Cognitive biases are systematic patterns of deviation from norm and/or rationality in judgment. They are often studied in psychology, sociology and behavioral economics. Although the reality of most of these biases is confirmed by reproducible research, there are often controversies about how to classify these biases or how to explain them. Several theoretical causes are known for some cognitive biases, which provides a classification of biases by their common generative mechanism (such as...
ac
personal.victoria.ac.nz/richard_joyce/…
[PDF] The evolutionary debunking of morality Richard Joyce
The evolutionary debunking of morality Richard Joyce Penultimate draft of paper appearing in J. Feinberg & R. Shafer-Landau (eds.), Reason and Responsibility (15th edition, Cengage, 2013) In The Descent of Man (1871) Darwin provides a detailed account of the origins of the human “moral sense”—a trait that he classes as the “most important” difference between humans and other animals. Readers were quick to worry that this evolutionary treatment of human morality in some manner undermined it....
ovid.com favicon
ovid.com
ovid.com/journals/regep…
A Social Comparison Account of Gossip - Ovid
The central thesis of this article is that all gossip involves social comparison. Research on social comparison is applied toward understanding...
mikaelecanvil.com favicon
Mikael Ecanvil
mikaelecanvil.com/psychologie-er…
Psychologie des erreurs de jugement : Les principaux biais cognitifs
Dans Poor Charlie’s Almanack, Charlie Munger propose une liste des principaux biais cognitifs à l’origine de nos erreurs de raisonnement.
sciencedirect.com favicon
sciencedirect
sciencedirect.com/science/articl…
Ingroup construal as a standard of comparison for outgroup judgments
unobravo.com favicon
Unobravo
unobravo.com/fr/blog/mecani…
Mécanisme de défense en psychologie : définition et liste - Unobravo
Qu’est-ce qu’un mécanisme de défense ? Quel est son but ? Voici un article détaillé sur les mécanismes de défense, y compris une liste des principaux.
youtube.com favicon
youtube
youtube.com/watch ?v=Y8IcYS…
Fundamental Attribution Error | Ethics Defined - YouTube
The Fundamental Attribution Error is the tendency people have to attribute others’ actions to their character, ignoring the impact that situational factors might have on that behavior. This video is part of Ethics Defined, an animated library of more than 50 ethics terms and concepts from Ethics Unwrapped, available at https://ethicsunwrapped.utexas.edu/glossary
For free videos and teaching resources on ethics and leadership, visit http://ethicsunwrapped.utexas.edu/
Ethics Unwrapped is a free online educational program produced by the Center for Leadership and Ethics at The University of Texas at Austin. It offers an innovative approach to introducing complex ethics topics that is accessible to both students and instructors. For more videos, case studies, and teaching materials, visit http://ethicsunwrapped.utexas.edu/
A complete playlist of Ethics Unwrapped videos available on YouTube may be found at : http://bit.ly/2lzF71u
© 2017 The University of Texas at Austin. All Rights Reserved.
fr.wikipedia.org favicon
Fondation Wikimedia, Inc.
fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9o…
Théorie de la comparaison sociale - Wikipédia
La théorie de la comparaison sociale est une théorie en psychologie, initialement développée par Leon Festinger en 1954, dans son article *A theory of social comparison processes*. Celle-ci porte sur la manière dont les êtres humains évaluent leurs opinions, d’une part, et leurs aptitudes, d’autre part. En particulier, en l’absence de critère objectifs, la théorie détaille de quelle manière un individu va se comparer aux autres individus. Dans sa théorie initiale, Festinger pose neuf...
EBSCO Information Services, Inc. | www.ebsco.com
ebsco.com/research-start…
Social identity theory | EBSCO Research Starters
Social identity theory, introduced by psychologist Henri Tajfel in 1978, explores the relationship between group membership and self-esteem, highlighting how individuals derive their self-concept from both personal and social identities. Personal identity encompasses individual traits and achievements, while social identity is tied to group affiliations such as ethnicity, political orientation, and occupation. The theory posits that individuals categorize themselves and others into ingroups and outgroups, fostering a preference for those within their ingroup, which can lead to biases and intergroup conflict. To enhance their self-concept, individuals may employ strategies like "exit" (leaving a devalued group), "pass" (concealing group membership), or "voice" (collective action to improve group image). The theory also helps explain phenomena like ethnocentrism, where individuals see their own group as superior. Social identity theory has been instrumental in understanding collective movements for social change, particularly among marginalized groups striving for positive self-identity and recognition. Overall, it offers a comprehensive framework for examining the dynamics of group behavior and identity in social psychology.
psychiatriinfirmiere.free.fr favicon
PSYCHIATRIE INFIRMIERE
psychiatriinfirmiere.free.fr/infirmiere/for…
Mécanismes de défense psychotiques - Psychiatrie Infirmière - Free
systemes de protection psychique contre l’angoisse, procede mental de la psychose ou de la nevrose aspect theorique et psychologique, mecanismes relationnels. Definition cours psychologie pour etudiant, formateur et professionnel soignant.
learn.library.wisc.edu
learn.library.wisc.edu/reflecting-on-…
Lesson 1 : Social Identity | UW-Madison Libraries
Social identity is a nuanced concept that is important for not only understanding ourselves but also how we navigate the world around us. At its simplest, we can understand social identities as the answer to the question : Who are you ? Social identities can be defined as groups that are based on the physical, social, and mental characteristics of individuals. They are sometimes obvious and clear—sometimes not—often self-claimed, and frequently ascribed by others. In other words, our social...
moralfoundations.github.io favicon
moralfoundations.github.io
moralfoundations.githu…
Moral Foundations Test
A six dimensional political psychology test, inspired by the works of Johnathan Haidt Moral Foundations Theory, developed by psychologists Jonathan Haidt, Jesse Graham, and Craig Joseph, suggests that there are psychological foundations underlying human morality that are innate and universal to every civilization across history. According to the theory, people’s moral judgments are based on six primary foundations : Care, Fairness, Liberty, In-Group Loyalty, Purity, and Authority/Order. These...
shs.cairn.info favicon
SHS Cairn.info
shs.cairn.info/revue-recherch…
Les mécanismes de défense | Cairn.info
1Notre résilience, notre capacité à faire face aux tensions, aux conflits, aux dangers perçus à l’intérieur de nous ou dans le monde extérieur, mobilise 2 types d’opérations mentales, les mécanismes de défense et les processus de coping. Les mécanismes de défense sont des processus mentaux automatiques, qui s’activent en dehors du contrôle de la volonté et dont l’action demeure inconsciente, le sujet pouvant au mieux percevoir le résultat de leurs interventions et s’en étonner éventuellement....
image
moralitylab.bc.edu favicon
bc
moralitylab.bc.edu/wp-content/upl…
[PDF] Moral reasoning
Lily Tsoi and Liane Young BOSTON COLLEGE Abstract Understanding people’s minds is essential for effectively navigating our social world. This chapter focuses on the capacity to attribute and reason about minds (theory of mind ; ToM) and its role in moral cognition. The section on moral judgment focuses on the circumstances in which people rely on mental states for moral judgments and how ToM may differ depending on the moral domain. We provide a functional explanation for these patterns of...
philarchive
philarchive.org/archive/MAYTNO…
[PDF] The Neuroscience of Moral Judgment : Empirical and Philosophical ...
The second thread in moral neuroscience primarily examined differences in brain activity elicited by moral compared to non-moral stimuli, or to moral stimuli of one kind compared to another, which were then localized to specific parts of the brain. Combined with lessons from the first thread, a general picture emerges in which at least some core aspects of moral cognition are underpinned by a network of predominantly frontal and temporal regions dedicated to various morally-relevant factors...
Human Brain Mapping
pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC68…
The role of the right temporo–parietal junction in social decision ...
Identifying someone else’s noncooperative intentions can prevent exploitation in social interactions. Hence, the inference of another person’s mental state might be most pronounced in order to improve social decision‐making. Here, we tested the ...
Psychology, crime & law : PC & L
pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC63…
The neuroscience of morality and social decision-making - PMC
Across cultures humans care deeply about morality and create institutions, such as criminal courts, to enforce social norms. In such contexts, judges and juries engage in complex social decision-making to ascertain a defendant’s capacity, ...
tandfonline.com
tandfonline.com/doi/abs/10.108…
The role of the ventromedial prefrontal cortex in moral cognition
journals.plos.org favicon
PLOS ONE
journals.plos.org/plosone/articl…
A Quantitative Meta-Analysis of Moral Reasoning and Moral Emotions
Background and Objectives Human morality has been investigated using a variety of tasks ranging from judgments of hypothetical dilemmas to viewing morally salient stimuli. These experiments have provided insight into neural correlates of moral judgments and emotions, yet these approaches reveal important differences in moral cognition. Moral reasoning tasks require active deliberation while moral emotion tasks involve the perception of stimuli with moral implications. We examined convergent and divergent brain activity associated with these experimental paradigms taking a quantitative meta-analytic approach. Data Source A systematic search of the literature yielded 40 studies. Studies involving explicit decisions in a moral situation were categorized as active (n = 22) ; studies evoking moral emotions were categorized as passive (n = 18). We conducted a coordinate-based meta-analysis using the Activation Likelihood Estimation to determine reliable patterns of brain activity. Results & Conclusions Results revealed a convergent pattern of reliable brain activity for both task categories in regions of the default network, consistent with the social and contextual information processes supported by this brain network. Active tasks revealed more reliable activity in the temporoparietal junction, angular gyrus and temporal pole. Active tasks demand deliberative reasoning and may disproportionately involve the retrieval of social knowledge from memory, mental state attribution, and construction of the context through associative processes. In contrast, passive tasks reliably engaged regions associated with visual and emotional information processing, including lingual gyrus and the amygdala. A laterality effect was observed in dorsomedial prefrontal cortex, with active tasks engaging the left, and passive tasks engaging the right. While overlapping activity patterns suggest a shared neural network for both tasks, differential activity suggests that processing of moral input is affected by task demands. The results provide novel insight into distinct features of moral cognition, including the generation of moral context through associative processes and the perceptual detection of moral salience.
image
jneurosci.org favicon
Journal of Neuroscience
jneurosci.org/content/34/13/…
Integrative Moral Judgment : Dissociating the Roles of the Amygdala ...
A decade’s research highlights a critical dissociation between automatic and controlled influences on moral judgment, which is subserved by distinct neural structures. Specifically, negative automatic emotional responses to prototypically harmful actions (e.g., pushing someone off of a footbridge) compete with controlled responses favoring the best consequences (e.g., saving five lives instead of one). It is unknown how such competitions are resolved to yield “all things considered” judgments. Here, we examine such integrative moral judgments. Drawing on insights from research on self-interested, value-based decision-making in humans and animals, we test a theory concerning the respective contributions of the amygdala and ventromedial prefrontal cortex (vmPFC) to moral judgment. Participants undergoing fMRI responded to moral dilemmas, separately evaluating options for their utility (Which does the most good ?), emotional aversiveness (Which feels worse ?), and overall moral acceptability. Behavioral data indicate that emotional aversiveness and utility jointly predict “all things considered” integrative judgments. Amygdala response tracks the emotional aversiveness of harmful utilitarian actions and overall disapproval of such actions. During such integrative moral judgments, the vmPFC is preferentially engaged relative to utilitarian and emotional assessments. Amygdala-vmPFC connectivity varies with the role played by emotional input in the task, being the lowest for pure utilitarian assessments and the highest for pure emotional assessments. These findings, which parallel those of research on self-interested economic decision-making, support the hypothesis that the amygdala provides an affective assessment of the action in question, whereas the vmPFC integrates that signal with a utilitarian assessment of expected outcomes to yield “all things considered” moral judgments.
image
The Movie Database
pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC62…
The role of prefrontal cortex in a moral judgment task using ...
The Movie Database (TMDB) is a popular, user editable database for movies and TV shows.
sciencedirect.com favicon
sciencedirect
sciencedirect.com/science/articl…
Damage to the ventromedial prefrontal cortex is associated with ...
Implicit moral evaluations-spontaneous, unintentional judgments about the moral status of actions or persons-are thought to play a pivotal role in moral experience, suggesting a need for research to model these moral evaluations in clinical populations. Prior research reveals that the ventromedial prefrontal cortex (vmPFC) is a critical area underpinning affect and morality, and patients with vmPFC lesions show abnormalities in moral judgment and moral behavior. We use indirect measurement and multinomial modeling to understand differences in implicit moral evaluations among patients with vmPFC lesions. Our model quantifies multiple processes of moral judgment : implicit moral evaluations in response to distracting moral transgressions (Unintentional Judgment), accurate moral judgments about target actions (Intentional Judgment), and a directional tendency to judge actions as morally wrong (Response Bias). Compared to individuals with non-vmPFC brain damage and neurologically healthy comparisons, patients with vmPFC lesions showed a dual deficit in processes of moral judgment. First, patients with vmPFC lesions showed reduced Unintentional Judgment about moral transgressions, but not about non-moral negative affective distracters. Second, patients with vmPFC lesions showed reduced Intentional Judgment about target actions. These findings highlight the utility of a formal modeling approach in moral psychology, revealing a dual deficit in multiple component processes of moral judgment among patients with vmPFC lesions.
pubmed.ncbi.nlm.nih.gov favicon
PubMed
pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38377206
Explaining the evolution of gossip - PubMed
Gossip, the exchange of personal information about absent third parties, is ubiquitous in human societies. However, the evolution of gossip remains a puzzle. The current article proposes an evolutionary cycle of gossip and uses an agent-based evolutionary game-theoretic model to assess it. We argue …
image
relationalpsych.group favicon
relationalpsych.group
relationalpsych.group/articles/proje…
Projection as a Defense Mechanism : Understanding the Psychology ...
Discover what projection as a defense mechanism is, why people use it, and how it affects relationships and mental health.
nature.com favicon
nature
nature.com/articles/s4159…
Lesion to the vmPFC abolishes intentionality (mis)attribution in the ...
dictionary.apa.org favicon
dictionary.apa
dictionary.apa.org/black-sheep-ef…
black sheep effect - APA Dictionary of Psychology
Plus de résultats
drolementcoloree.blog favicon
Drôlement colorée !
drolementcoloree.blog/2025/05/21/pou…
Pourquoi juge-t-on ? - Drôlement colorée !
Et si nos jugements disaient plus sur nous que sur les autres ? Plonge dans une réflexion mordante et sensible sur nos biais (même inconscients).
espritsciencemetaphysiques.com favicon
Esprit Spiritualité Métaphysiques
espritsciencemetaphysiques.com/pourquoi-quand…
Pourquoi quand les gens vous jugent, cela ne vous concerne pas ...
Quand les gens vous jugent : Vous et moi, nous jugeons. Et ils nous jugent. Nous le faisons tous. Parfois, avec de bonnes intentions ou non
happyneuron.fr favicon
happyneuron.fr
happyneuron.fr/actualite-scie…
Pourquoi critiquer est-il plus facile que féliciter ? | HAPPYneuron
Actualité scientifique HAPPYneuron : Pourquoi critiquer est-il plus facile que féliciter ?
psychologies.com favicon
Psychologies.com
psychologies.com/Moi/Moi-et-les…
Norbet Chatillon :"Juger l’autre, c’est porter un jugement sur soi"
Critiquer autrui, c’est souvent lui attribuer les défauts ou les qualités que nous n’osons pas reconnaître en nous, explique le psychanalyste Norbert Chatillon. Une façon de rejeter ce qui nous trouble.
europe1.fr favicon
europe1.fr
europe1.fr/societe/compre…
Pourquoi ce n’est pas grave de penser du mal des autres
Auteure du livre Continuons à penser du mal des autres (Eyrolles), la psychologue Marie-Agnès Chauvin était l’invitée de l’émission Sans rendez-vous, sur Europe 1. Au-delà d’expliquer pourquoi il est normal de juger et de critiquer les autres, elle insiste sur l’importance de déculpabiliser par rapport à nos médisances, et surtout, de "positiver le négatif".
youtube.com favicon
youtube
youtube.com/watch ?v=z6IrUi…
Pourquoi les gens te CRITIQUENT ???? - YouTube
#Juger est un sentiment complètement humain ! Et même psychologiquement inévitable ! 😨😨😨
Mais rien ne nous oblige à en faire part à l’intéressé !
Le #jugement de l’autre revient littéralement à se juger soi-même ! En effet, notre cerveau, fabuleuse machine fonctionne de manière à nous maintenir en permanence dans une zone de sécurité que nous appelons aussi zone de confort. Alors quand une personne vient heurter cette "sécurité", elle fait face à votre jugement alors qu’il ne s’agit ni plus ni moins que d’un effet miroir ! Juger l’autre c’est vous juger vous !
Pourtant c’est un mécanisme PERMANENT ! Comme il est dit :
"La #critique est facile et l’art difficile".
📎 𝗟𝗜𝗘𝗡𝗦 𝗨𝗧𝗜𝗟𝗘𝗦
📚 𝐌𝐨𝐧 𝐨𝐮𝐯𝐫𝐚𝐠𝐞 ➜ https://editions-sydney-laurent.fr/brand/mathieu-boinet/
💰 𝐀𝐢𝐝𝐞-𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐬𝐮𝐫 𝐓𝐈𝐏𝐄𝐄 ➜ https://fr.tipeee.com/captain-audace
👉🏻 𝐂𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞𝐳 𝐢𝐜𝐢 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐫𝐞𝐜𝐞𝐯𝐨𝐢𝐫 𝟕 𝐣𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐞𝐧𝐮 𝐆𝐑𝐀𝐓𝐔𝐈𝐓 ➜ https://cutt.ly/2mkJ6LQ
▪️ 𝐒’𝐚𝐛𝐨𝐧𝐧𝐞𝐫 à la chaîne : https://www.youtube.com/c/CaptainAudace?sub_confirmation=1
▪️ Retrouvez de 𝐧𝐨𝐮𝐯𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 vidéos 𝐜𝐡𝐚𝐪𝐮𝐞 𝐯𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞𝐝𝐢 à 18h sur ma chaîne YouTube.
▪️ 𝐂𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐜𝐥𝐨𝐜𝐡𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐚𝐜𝐭𝐢𝐯𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐧𝐨𝐭𝐢𝐟𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 et ne pas rater les prochaines sorties.
▪️ 𝐒𝐨𝐮𝐯𝐞𝐧𝐞𝐳-𝐯𝐨𝐮𝐬, un pouce en l’air & un commentaire c’est d’enfer
▪️ Tout les 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐭𝐫𝐮𝐜𝐭𝐢𝐟𝐬 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐛𝐢𝐞𝐧𝐯𝐞𝐧𝐮𝐬, je vous invite à laisser votre avis dans la rubrique prévue à cet effet, je vous répondrais dès que possible.
▪️ 𝐂𝐨𝐧𝐭𝐚𝐜𝐭 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞𝐫𝐜𝐢𝐚𝐥 : contact@mathieuboinet.com / 06.28.84.82.53
🎯 𝗦𝗨𝗜𝗩𝗘𝗭- 𝗠𝗢𝗜
► Site web : https://mathieuboinet.com
► Facebook : https://www.facebook.com/mathieu.boinet.7
► Instagram : https://www.instagram.com/mathieu.boinet
► Twitter : https://twitter.com/BoinetMathieu
► LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/mathieuboinet
💁♂ 𝗤𝗨𝗜 𝗦𝗨𝗜𝗦-𝗝𝗘
Je suis Mathieu Boinet, conférencier professionnel spécialiste de l’audace & auteur.
Par le biais de la conférence entreprise, je parcours la francophonie entière pour partager une vision audacieuse et innovante de l’entreprise de demain. Une conférence punchy, impactante, dynamique et interactive qui vous assurera de passer un agréable moment Ma conférence signature : " L’entreprise de demain doit oser l’audace !" aborde le thème de l’audace en entreprise.
Pourquoi ? Aujourd’hui l’audace est perçue dans les entreprises françaises comme une sclérose collective ! (Psychologie magazine/ https://cutt.ly/9twWOw5) Pourtant un sondage du MEDEF (https://cutt.ly/HtwWmVg) explique très clairement qu’avant de favoriser l’innovation dans les entreprises françaises, nous devons avoir l’audace de changer les mentalités comme en développant la culture de l’innovation en passant par celle de l’échec !
Inspiré de conférenciers professionnels connus comme Michel Poulaert, Michael Aguillar, Philippe Gabillet, Régis Rossi, Gaël Chatelain, c’est avec passion que j’interviens dans vos entreprises pour contribuer à la pérennité de vos organisations. Format de conférence Keynote, conférences Ted ou conférence spectacle dite "conférence gesticulée". Possibilité de commander de 30 à 90 min.
L’ENTREPRISE DE DEMAIN DOIT OSER L’AUDACE - conférence Mathieu Boinet
Lien de la vidéo : https://youtu.be/0_ga6qeZwKo
conférence Le Grand Rex - Paris
L’ audace est le premier facteur d’innovation, de créativité, de leadership et d’engagement pour votre entreprise. Servez-vous le dirigeant prêt à intégrer l’audace et l’optimisme dans votre organisation ? Conférences KEYNOTE / MOTIVATION.
🎬 𝗦𝗢𝗨𝗥𝗖𝗘𝗦
▪️ Wiktionnaire : https://fr.wiktionary.org/wiki/juge
Psychologie magazine : https://www.psychologies.com/Moi/Moi-et-les-autres/Relationnel/Articles-et-Dossiers/Arreter-de-tout-juger/Norbet-Chatillon-Juger-l-autre-c-est-porter-un-jugement-sur-soi/13
noovomoi.ca favicon
Noovo Moi
noovomoi.ca/vivre/bien-etr…
La peur du jugement : entrevue avec un psychologue - Noovo Moi
Ressentez-vous toujours le besoin de plaire à tout le monde autour de vous ? Voici notre entrevue concernant la peur du jugement avec un psychologue.
reddit.com favicon
reddit
reddit.com/r/france/comme…
Pourquoi la majorité des gens sont dans le jugement ? : r/france
Pourquoi la majorité des gens sont dans le jugement ?
youtube.com favicon
youtube
youtube.com/watch ?v=9TGvWa…
Les autres me critiquent et me jugent - YouTube
Vous vous sentez souvent critiqué par votre entourage, par vos collègues de travail, par les membres de votre famille, ... Cette situation vous fait souffrir et vous ne savez pas comment la gérer ? Dans cette nouvelle vidéo, je vous donne mon point de vue et tous mes conseils.
📢 Boîte à questions : 👉 https://noemiedesaintsernin.com/boite-questions
📢 Conférence gratuite Harmonie Familiale : 👉 https://noemiedesaintsernin.com/conf-hf
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ FORMATIONS OFFERTES ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
🎁 La box des parents sereins et heureux : 👉 https://noemiedesaintsernin.com/coffret-parent-yt
🎁 La box pour plus de bonheur et de joie : 👉 https://noemiedesaintsernin.com/coffret-dp-yt
▬▬▬▬▬▬▬ACCOMPAGNEMENTS de Noémie de Saint-Sernin ▬▬▬▬▬
🚀 Immersion transformation : 👉 https://noemiedesaintsernin.com/stages-en-immersion/
🚀 Coaching individuel : 👉 https://noemiedesaintsernin.com/coaching-vip
▬▬▬▬▬ COACHINGS ET FORMATIONS de Noémie de Saint-Sernin ▬▬▬▬▬
🚀 Harmonie Familiale : 👉 https://noemiedesaintsernin.com/hf
🚀 Les clefs du passé – Se libérer pour changer de vie :
👉 https://noemiedesaintsernin.com/cdp
🚀 Les clefs pour gérer les crises de colère : 👉 https://noemiedesaintsernin.com/cgc
🚀 Les Clefs de la colère des enfants : 👉 https://noemiedesaintsernin.com/cdc-enfants
🚀 La Box Colère et Emotions : 👉 https://noemiedesaintsernin.com/box-colere
🚀 La Box, pipi au lit, c’est fini ! : 👉 https://noemiedesaintsernin.com/box-pipi
🚀 Les clefs pour de meilleures relations avec son ado :
👉 https://noemiedesaintsernin.com/clefs-ado
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ LES LIVRES de Noémie de Saint-Sernin ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
📕 Les clefs du passé se libérer pour changer de vie : 👉 https://amzn.to/2ViyVhO
📕 Mon cahier good vibes : 👉 https://amzn.to/3xvtfiX
📘 Les clefs de la colère – Manuel de survie pour parents au bord de la crise de nerf :
👉 https://amzn.to/3r02oZB
📘 Le coffret des Animotions : 👉 https://amzn.to/3hQIUTm
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ RETROUVEZ Noémie de Saint-Sernin sur … ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
📢 Web : 👉 https://noemiedesaintsernin.com
📢 Facebook parentalité : 👉 https://noemiedesaintsernin.com/fb-parentalite
📢 Facebook développement personnel : 👉 https://noemiedesaintsernin.com/fb-dev-perso
📢 Instagram : 👉 https://noemiedesaintsernin.com/insta
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ A propos de ma chaîne ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
Je suis coach en développement personnel certifiée RNCP (titre reconnu par l’état) et en parentalité, auteure du best-seller, conférencière et formatrice.
Mais avant tout, je suis femme, épouse, mère de 3 enfants et entrepreneuse fondatrice de 2 entreprises (SAS MN3L Coaching et MN3L Formation).
Depuis 2014, j’ai accompagné des milliers de gens, des femmes, des hommes, des jeunes, des moins jeunes, des parents, des professionnels de la santé ou de l’enfance ainsi que des entrepreneurs à travers des programmes de formation, des coachings, des séminaires, des conférences, des livres et même des séjours en immersion.
Vous trouverez sur ma chaîne beaucoup de bienveillance, d’écoute, d’empathie et d’amour.
À très vite,
Noémie
#NoemiedeSaintSernin #DéveloppementPersonnel #Parentalité
#développementpersonnel #lesautresmecritiquent #lesautresmejugent
lavie.fr favicon
La Vie
lavie.fr/ma-vie/sante-b…
“Je critique et juge beaucoup… Comment m’en sortir ?” - LaVie.fr
Chaque semaine, le psychologue et psychanalyste Jacques Arènes répond à une interrogation existentielle ou spirituelle. Pour lui poser une question vous aussi,
Pour répondre de manière approfondie à la question de pourquoi les humains jugent, il serait pertinent d’analyser les fondements psychologiques, philosophiques et évolutionnistes du jugement, en étudiant comment ces processus influencent la morale, la conscience et la socialisation, tout en recherchant des perspectives culturelles et neuroscientifiques pour illustrer les motivations profondes derrière cette tendance universelle.
Recherche
jugement humain psychologie
evolutionary moral judgment
social evaluation gossip
ingroup outgroup judgment
cognitive biases judgments
Lire les sources · 20
psychologies.com favicon
Je juge tout le monde - Psychologies.compsychologies
en.wikipedia.org favicon
Evolution of morality - Wikipediaen.wikipedia
rips-irsp.com favicon
Research article - International Review of Social Psychologyrips-irsp
[PDF] Ingroup construal as a standard of comparison for outgroup judgmentsbertramgawronski
nbs-factory.com favicon
Understanding Cognitive Biases : How They Shape Our Decisionsnbs-factory
ergomanagement.fr favicon
Comment éviter les jugements critiques sur autrui pour favoriser une ...ergomanagement
en.wikipedia.org favicon
Evolutionary ethics - Wikipediaen.wikipedia
research.vu.nl favicon
What do we talk about when we talk about others ? Evidence for the ...research.vu
onlinelibrary.wiley.com favicon
The “Black Sheep Effect” : Extremity of judgments towards ingroup ...onlinelibrary.wiley
en.wikipedia.org favicon
List of cognitive biases - Wikipediaen.wikipedia
melchior.fr favicon
Pourquoi nous faisons des erreurs de jugement et comment les évitermelchior
[PDF] The evolutionary debunking of morality Richard Joycepersonal.victoria.ac
ovid.com favicon
A Social Comparison Account of Gossip - Ovidovid
en.wikipedia.org favicon
In-group and out-group - Wikipediaen.wikipedia
en.wikipedia.org favicon
Cognitive bias - Wikipediaen.wikipedia
mikaelecanvil.com favicon
Psychologie des erreurs de jugement : Les principaux biais cognitifsmikaelecanvil
Morality and Evolutionary Biologyplato.stanford
[PDF] Gossip as evaluative sensemaking and the concealment of ...eprints.whiterose.ac
sciencedirect.com favicon
Ingroup construal as a standard of comparison for outgroup judgmentssciencedirect
performanse.com favicon
Cognitive biases and decisions : when facts interpreted...performanse
Explorant les aspects psychologiques et sociaux sous-jacents au jugement humain pour mieux comprendre ses mécanismes.
Recherche
social identity judgment
moral foundations theory
projection mécanisme défense jugement
fundamental attribution error
social comparison theory Festinger
Lire les sources · 20
simplypsychology.org favicon
Social Identity Theory In Psychology (Tajfel & Turner, 1979)simplypsychology
en.wikipedia.org favicon
Moral foundations theory - Wikipediaen.wikipedia
journaldemontreal.com favicon
Psycho : comprendre la fameuse « projection - Le Journal de Montréaljournaldemontreal
simplypsychology.org favicon
Fundamental Attribution Error Theory in Psychologysimplypsychology
en.wikipedia.org favicon
Social comparison theory - Wikipediaen.wikipedia
thedecisionlab.com favicon
Social Identity Theory - The Decision Labthedecisionlab
moralfoundations.org favicon
Moral Foundations Theory | moralfoundations.orgmoralfoundations
unobravo.com favicon
Mécanisme de défense en psychologie : définition et liste - Unobravounobravo
youtube.com favicon
Fundamental Attribution Error | Ethics Defined - YouTubeyoutube
fr.wikipedia.org favicon
Théorie de la comparaison sociale - Wikipédiafr.wikipedia
Social identity theory | EBSCO Research Startersebsco
Moral foundations theory and the narrative self - PubMed Centralpmc.ncbi.nlm.nih
psychiatriinfirmiere.free.fr favicon
Mécanismes de défense psychotiques - Psychiatrie Infirmière - Freepsychiatriinfirmiere.free
en.wikipedia.org favicon
Fundamental attribution error - Wikipediaen.wikipedia
An Examination using Social Comparison Theorypmc.ncbi.nlm.nih
Lesson 1 : Social Identity | UW-Madison Librarieslearn.library.wisc
moralfoundations.github.io favicon
Moral Foundations Testmoralfoundations.github
shs.cairn.info favicon
Les mécanismes de défense | Cairn.infoshs.cairn
thedecisionlab.com favicon
Fundamental Attribution Error - The Decision Labthedecisionlab
verywellmind.com favicon
How Social Comparison Theory Influences Our Views on Ourselvesverywellmind
Investigating the brain regions involved in moral judgment to better understand the neural basis of human evaluations.
Recherche
moral judgment brain areas
ventromedial prefrontal cortex moral judgment
TPJ moral reasoning social
Lire les sources · 20
Regional and Temporal Differences in Brain Activity With Morally ...pmc.ncbi.nlm.nih
overcominghateportal.org favicon
[PDF] Selective deficit in personal moral judgment following damage to ...overcominghateportal
elifesciences.org favicon
A causal role for right temporo-parietal junction in signaling moral ...elifesciences
[PDF] The Cognitive Neuroscience of Moral Judgment Joshua D. Greene ...demenzemedicinagenerale
Damage to the ventromedial prefrontal cortex is associated with ...pmc.ncbi.nlm.nih
moralitylab.bc.edu favicon
[PDF] Moral reasoningmoralitylab.bc
[PDF] The Neuroscience of Moral Judgment : Empirical and Philosophical ...philarchive
Damage to the prefrontal cortex increases utilitarian moral judgementspmc.ncbi.nlm.nih
The role of the right temporo–parietal junction in social decision ...pmc.ncbi.nlm.nih
nature.com favicon
Neural underpinnings of morality judgment and moral aesthetic ...nature
frontiersin.org favicon
[PDF] An emotion regulation role of ventromedial prefrontal cortex in moral ...frontiersin
The neuroscience of morality and social decision-making - PMCpmc.ncbi.nlm.nih
frontiersin.org favicon
How does morality work in the brain ? A functional and structural ...frontiersin
The role of the ventromedial prefrontal cortex in moral cognitiontandfonline
journals.plos.org favicon
A Quantitative Meta-Analysis of Moral Reasoning and Moral Emotionsjournals.plos
news.ucsb.edu favicon
Moral reasoning displays characteristic patterns in the brain, with ...news.ucsb
jneurosci.org favicon
Integrative Moral Judgment : Dissociating the Roles of the Amygdala ...jneurosci
sciencedirect.com favicon
Increasing the role of belief information in moral judgments by ...sciencedirect
The role of prefrontal cortex in a moral judgment task using ...pmc.ncbi.nlm.nih
sciencedirect.com favicon
Damage to the ventromedial prefrontal cortex is associated with ...sciencedirect
Investigating the evolutionary and psychological theories behind human judgment to deepen understanding of its underlying mechanisms.
Recherche
social brain hypothesis judgment
gossip evolutionary function
projection defense mechanism psychology
black sheep effect social identity
moral judgment vmPFC lesions
Lire les sources · 17
Social brains, simple minds : does social complexity really require ...pmc.ncbi.nlm.nih
pnas.org favicon
Explaining the evolution of gossip - PNASpnas
simplypsychology.org favicon
Psychological Projection (+ Examples)simplypsychology
The Social Brain : Neural Basis of Social Knowledge - PubMed Centralpmc.ncbi.nlm.nih
pubmed.ncbi.nlm.nih.gov favicon
Explaining the evolution of gossip - PubMedpubmed.ncbi.nlm.nih
talkspace.com favicon
Projection as a Defense Mechanism - Talkspacetalkspace
stateofmind.it favicon
Black sheep effect and the identification with group - State of Mindstateofmind
pnas.org favicon
Breakdown of utilitarian moral judgement after basolateral amygdala ...pnas
Experts in action : why we need an embodied social brain hypothesisroyalsocietypublishing
thefoodlives.com favicon
Gossip : An evolutionary and philosophical take - TheFoodlivesthefoodlives
relationalpsych.group favicon
Projection as a Defense Mechanism : Understanding the Psychology ...relationalpsych
Black » : Social Comparison as a Standard for Ingroup Evaluation in ...ledonline
nature.com favicon
Lesion to the vmPFC abolishes intentionality (mis)attribution in the ...nature
academic.oup.com favicon
The social brain hypothesis : An evolutionary perspective on the ...academic.oup
news.stanford.edu favicon
Why gossipers have an evolutionary edge - Stanford Reportnews.stanford
verywellmind.com favicon
Projection as a Defense Mechanism - Verywell Mindverywellmind
dictionary.apa.org favicon
black sheep effect - APA Dictionary of Psychologydictionary.apa
Terminé
# Pourquoi les humains jugent ?
Au cours de l’évolution, les humains ont développé une tendance universelle à évaluer, classer et commenter les actions d’autrui. Ce comportement, l’on nomme jugement, remplit plusieurs fonctions adaptatives : réguler la coopération, protéger l’identité individuelle et collective, puis guider la prise de décision morale. Il repose sur des mécanismes psychologiques, sociaux et neurobiologiques complexes, modulés par la culture et sujets à de nombreux biais.
## Les racines évolutives du jugement
### Cohésion sociale et coopération
Maintenir une vie de groupe large exige de repérer rapidement qui est fiable, qui ne l’est pas, et d’ajuster son comportement en conséquence ; le jugement fournit cette carte sociale[1][2]. L’hypothèse du « cerveau social » postule que la pression imposée par la complexité des relations interpersonnelles a favorisé l’essor du cortex préfrontal chez les primates, y compris l’humain[3][4].
### Diffusion des réputations par le commérage
Le commérage (gossip) est un canal privilégié pour partager des évaluations ; il prévient les dérives égoïstes en rendant publiques les réputations[5][6]. Des simulations évolutionnistes montrent qu’un cercle vertueux se met en place : plus la réputation circule, plus les individus coopèrent avec les « bons » partenaires et craignent de nuire à leur propre image[5].
### Différenciation ingroup/outgroup
Se comparer à autrui renforce l’identité sociale : valoriser son groupe (ingroup) et dévaloriser l’autre (outgroup) soutient l’estime de soi[7][8]. L’« effet mouton noir » illustre comment les déviants internes sont parfois jugés plus sévèrement que les étrangers, afin de protéger les normes communes[9][10].
### Gestion des dangers et de la survie
Évaluer si une personne est menaçante ou utile optimise les réponses face aux prédateurs, aux maladies ou aux rivaux. Les fondations morales de pureté/dégradation et d’autorité/subversion reflètent cette ancienne fonction de protection[11][12].
### Sélection sexuelle et prestige
Les jugements sur la compétence, la loyauté ou la moralité influent sur la réputation sexuelle et le statut. Montrer qu’on sait juger correctement augmente l’attrait comme partenaire ou allié[13].
## Théories psychologiques du jugement
### Théorie de la comparaison sociale
Leon Festinger suggère que, faute de critères objectifs, chacun s’évalue en se comparant à autrui[14][15]. Le jugement régule ainsi l’auto-évaluation et la motivation à s’améliorer[16].
### Théorie de l’identité sociale
Tajfel postule que juger l’autre sert avant tout à défendre une identité de groupe positive[7]. Le rejet accentué des « moutons noirs » découle de cette logique d’auto-défense collective[17].
### Projection et mécanismes de défense
En psychanalyse, la projection attribue à autrui des émotions ou intentions jugées inacceptables chez soi ; juger devient alors une stratégie inconsciente de préservation du Moi[18][19][20].
### Biais cognitifs
Les heuristiques rapides (ex. erreur fondamentale d’attribution) simplifient l’évaluation mais génèrent des jugements inexacts[21][22]. La variabilité aléatoire (« bruit ») accroît encore l’erreur, même chez les experts[23].
## Architecture neurocognitive du jugement
| Région clé | Rôle principal | Évidence |
|------------|---------------|----------|
| vmPFC | Intègre émotions et coûts/bénéfices pour arbitrer un choix moral ; lésion → jugements utilitaristes excessifs | 42[24] |
| Amygdale | Détecte la valence émotionnelle, surtout menace ou souffrance | 41[25] |
| rTPJ / STS | Inférence des états mentaux (théorie de l’esprit) | 43[26] |
| DLPFC | Contrôle cognitif, application de règles abstraites | 53[27] |
| Insula | Ressenti viscéral ; dégoût moral et empathie | 50[28] |
### Interaction émotion–raison
Les dilemmes moraux activent simultanément réseaux émotionnels (amygdale) et réseaux de contrôle (vmPFC, DLPFC). Un dommage vmPFC réduit l’impact de l’émotion et entraîne des choix plus froidement utilitaristes[29][30].
### Développement et plasticité
Les bases du jugement moral apparaissent tôt, mais la maturation préfrontale et l’accumulation de normes culturelles raffinées complexifient les évaluations à l’adolescence[31].
## Jugement moral : de la biologie à la culture
### Moral Foundations Theory
Haidt recense six piliers innés (soin, équité, loyauté, autorité, pureté, liberté) que chaque culture module[11][32].
### Normes socio-culturelles
Langage, rituels et institutions orientent la grille d’évaluation. La transgression d’une norme locale déclenche une réprobation même si la règle n’est pas universelle[33].
### Variabilité individuelle et pathologies
Lésions vmPFC ou amygdaliennes perturbent la pondération des intentions et des conséquences[34][35]. Les troubles de la personnalité (psychopathie) montrent une atténuation de la culpabilité et un jugement utilitaire sélectif[36].
## Conséquences du jugement
| Domaine | Effets positifs | Effets négatifs |
|---------|----------------|-----------------|
| Cohésion sociale | Renforce la coopération[5] | Exclusion des déviants[9] |
| Régulation de soi | Encourage l’amélioration personnelle[14] | Induit honte et anxiété excessives[19] |
| Innovation | Critique constructive propulse le progrès[37] | Conformisme et censure[38] |
## Quand le jugement déraille
### Erreurs d’attribution
Nous surestimons les traits internes et minimisons les contraintes contextuelles ; cela nourrit le blâme injuste[21][39].
### Stéréotypes et préjugés
La catégorie sociale sert de raccourci, mais cet « heuristic » perpétue les discriminations[40][41].
### Climat organisationnel
Des rumeurs négatives constantes sapent la confiance et la performance collective[42][43].
## Réduire le jugement toxique
### Stratégies individuelles
– Pratiquer la pleine conscience pour repérer la projection[44].
– Contrôler la charge cognitive avant de juger afin de limiter l’erreur fondamentale[21].
### Interventions collectives
– Politiques de feed-back structuré réduisent le bruit décisionnel[23].
– Formation à la théorie de l’esprit accroît l’empathie et limite le blâme impulsif[45].
## Tableau 1 – Fonctions adaptatives du jugement
| Fonction | Description synthétique | Preuves empiriques |
|----------|------------------------|--------------------|
| Surveillance sociale | Identifier partenaires fiables, sanctionner tricheurs | Études de gossip en entreprise[46] |
| Stabilisation des normes | Dissuader les écarts pour protéger la cohésion | Effet mouton noir[9] |
| Allocation de ressources | Diriger coopération et aide vers les justes | Modèles évolutionnistes[5] |
| Construction identitaire | Renforcer l’image de soi et du groupe | Théorie identité sociale[7] |
## Tableau 2 – Principaux biais de jugement
| Biais | Définition | Impact typique |
|-------|-----------|---------------|
| Erreur fondamentale d’attribution | Surévaluer les causes internes | Sur-blâme des victimes[21] |
| Projection | Attribuer à autrui ses propres défauts | Conflits interpersonnels[19] |
| Ancrage | S’appuyer sur la première info disponible | Jugements pénaux disparates[23] |
| Biais d’affinité | Favoriser ceux qui nous ressemblent | Recrutement non-méritocratique[47] |
## Conclusion
Les humains jugent parce que ce comportement optimise la survie collective, protège l’identité et orienteles décisions morales. Le jugement repose sur une synergie entre pressions évolutives, mécanismes psychologiques et structures cérébrales spécialisées. S’il favorise la coopération et l’auto-réflexion, il demeure vulnérable aux biais, à la projection et aux distorsions culturelles. Développer une conscience critique de ces dérives – via l’éducation à l’empathie, la régulation des biais et la promotion d’un feed-back constructif – permet de conserver les bénéfices adaptatifs du jugement tout en limitant ses coûts sociaux.
[1] https://en.wikipedia.org/wiki/Evolution_of_morality
[2] https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC2346517/
[3] https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC2588649/
[4] https://academic.oup.com/book/12450/chapter/162057362
[5] https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.2214160121
[6] https://news.stanford.edu/stories/2024/04/psst-wanna-know-why-gossip-has-evolved-every-human-society
[7] https://www.simplypsychology.org/social-identity-theory.html
[8] https://thedecisionlab.com/reference-guide/psychology/social-identity-theory
[9] https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/ejsp.2420180102
[10] https://www.stateofmind.it/2015/01/identita-sociale-ingroup/
[11] https://en.wikipedia.org/wiki/Moral_foundations_theory
[12] https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC10248973/
[13] https://thefoodlives.com/gossip-an-evolutionary-and-philosophical-take/
[14] https://en.wikipedia.org/wiki/Social_comparison_theory
[15] https://www.verywellmind.com/what-is-the-social-comparison-process-2795872
[16] https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC8785919/
[17] https://www.ledonline.it/index.php/ECPS-Journal/article/view/1197
[18] https://www.journaldemontreal.com/2023/05/28/psycho-comprendre-la-fameuse-projection
[19] https://www.simplypsychology.org/psychological-projection-defense-mechanism.html
[20] https://www.verywellmind.com/what-is-a-projection-defense-mechanism-5194898
[21] https://www.simplypsychology.org/fundamental-attribution.html
[22] https://en.wikipedia.org/wiki/Fundamental_attribution_error
[23] https://www.melchior.fr/note-de-lecture/noise-pourquoi-nous-faisons-des-erreurs-de-jugement-et-comment-les-eviter
[24] https://www.overcominghateportal.org/uploads/5/4/1/5/5415260/selective_damage_to_vmpc.pdf
[25] https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC8072487/
[26] https://elifesciences.org/articles/40671
[27] https://www.frontiersin.org/journals/integrative-neuroscience/articles/10.3389/fnint.2013.00065/full
[28] https://www.nature.com/articles/s41598-021-97782-7
[29] https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC2244801/
[30] https://www.frontiersin.org/journals/human-neuroscience/articles/10.3389/fnhum.2014.00873/pdf
[31] https://news.ucsb.edu/2023/021196/moral-reasoning-displays-characteristic-patterns-brain-distinctions-between-moral
[32] https://moralfoundations.org
[33] https://plato.stanford.edu/archIves/fall2023/entries/morality-biology/
[34] https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC5866785/
[35] https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.2119072119
[36] https://www.demenzemedicinagenerale.net/images/pdf/Greene-Moral_Judgment.pdf
[37] https://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Comportement/Articles-et-Dossiers/Je-juge-tout-le-monde
[38] https://royalsocietypublishing.org/doi/10.1098/rstb.2020.0533
[39] https://thedecisionlab.com/biases/fundamental-attribution-error
[40] https://en.wikipedia.org/wiki/In-group_and_out-group
[41] https://en.wikipedia.org/wiki/Cognitive_bias
[42] https://www.ergomanagement.fr/comment-eviter-les-jugements-critiques-sur-autrui/
[43] https://eprints.whiterose.ac.uk/id/eprint/178878/1/1350507620979366.pdf
[44] https://www.talkspace.com/blog/projection-defense-mechanism/
[45] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0028393215301597
[46] https://rips-irsp.com/articles/10.5334/irsp.687
[47] https://www.performanse.com/en/blog/article/cognitive-biases-and-decisions-when-facts-interpreted/
[48] https://www.bertramgawronski.com/documents/GBB2005JESP.pdf
[49] https://www.nbs-factory.com/understanding-cognitive-biases-how-they-shape-our-decisions
[50] https://en.wikipedia.org/wiki/Evolutionary_ethics
[51] https://research.vu.nl/en/publications/what-do-we-talk-about-when-we-talk-about-others-evidence-for-the-
[52] https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_cognitive_biases
[53] http://personal.victoria.ac.nz/richard_joyce/acrobat/joyce_2013_evolutionary.debunking.pdf
[54] https://www.ovid.com/journals/regep/fulltext/00063906-200406000-00006~a-social-comparison-account-of-gossip
[55] https://mikaelecanvil.com/psychologie-erreurs-jugement/
[56] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0022103105000041
[57] https://www.unobravo.com/fr/blog/mecanismes-de-defense-psychologie
[58] https://www.youtube.com/watch?v=Y8IcYSrcaaA
[59] https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_de_la_comparaison_sociale
[60] https://www.ebsco.com/research-starters/psychology/social-identity-theory
[61] http://psychiatriinfirmiere.free.fr/infirmiere/formation/psychologie/psychologie/mecanisme-defense.htm
[62] https://learn.library.wisc.edu/reflecting-on-social-justice-foundational-concepts/lesson-1/
[63] https://moralfoundations.github.io
[64] https://shs.cairn.info/revue-recherche-en-soins-infirmiers-2005-3-page-31?lang=fr
[65] https://moralitylab.bc.edu/wp-content/uploads/sites/192/2018/04/Tsoi_2018_Stevens_moral_reasoning.pdf
[66] https://philarchive.org/archive/MAYTNO-5
[67] https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC6866486/
[68] https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC6372234/
[69] https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/09515089.2023.2166820
[70] https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371%2Fjournal.pone.0087427
[71] https://www.jneurosci.org/content/34/13/4741
[72] https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC6236239/
[73] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0028393218300447
[74] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38377206/
[75] https://www.relationalpsych.group/articles/projection-as-a-defense-mechanism-understanding-the-psychology-behind-it
[76] https://www.nature.com/articles/s41598-025-03457-y
[77] https://dictionary.apa.org/black-sheep-effect
Deepseek :
Hum, l’utilisateur demande "pourquoi les humains jugent ?" en français. C’est une question philosophique et psychologique profonde.
D’abord, je remarque que la formulation est très courte et directe. Peut-être que l’utilisateur réfléchit à une expérience personnelle de jugement, ou qu’il observe ce phénomène autour de lui. La simplicité de la question suggère qu’il cherche des explications fondamentales plutôt que des nuances complexes.
Je devrais structurer ma réponse en plusieurs axes clés : les origines évolutives (utilité de survie), les dimensions sociales (appartenance au groupe), les mécanismes cognitifs (simplification de la réalité), et enfin les aspects moraux contemporains.
Attention à ne pas tomber dans le piège de diaboliser le jugement - c’est un outil neutre qui peut être utilisé positivement ou négativement. L’utilisateur semble chercher une compréhension objective plutôt qu’un jugement... sur le jugement justement !
La partie sur les biais cognitifs me paraît cruciale à inclure, car c’est là que le jugement devient problématique dans la vie moderne. Et terminer par une note d’espoir : si nous jugeons par nature, nous pouvons aussi cultiver la conscience de ce mécanisme.
Je dois garder un ton accessible mais pas trop simpliste. L’utilisateur qui pose ce genre de question est probablement capable de saisir des concepts comme "heuristiques" ou "biais de confirmation" si on les explique clairement.
Et surtout, éviter les jugements de valeur dans ma propre réponse !
Les humains jugent pour plusieurs raisons complexes, liées à notre évolution, notre psychologie et notre vie en société. Voici les principales explications :
Mécanisme de survie et d’évaluation rapide :
Héritage évolutif : Notre cerveau a développé la capacité de juger rapidement (souvent de manière inconsciente) pour évaluer les dangers, les opportunités ou les ressources. Est-ce une menace ? Cette nourriture est-elle sûre ? Cette personne est-elle fiable ? Ces jugements instantanés (souvent basés sur des heuristiques ou des stéréotypes) étaient cruciaux pour la survie.
Économie cognitive : Juger permet de catégoriser et de simplifier un monde extrêmement complexe. Classer les choses, les situations ou les personnes en "bon/mauvais", "sûr/dangereux", "ami/ennemi" demande moins d’énergie mentale qu’une analyse nuancée constante.
Besoins sociaux et identitaires :
Appartenance au groupe : Juger les autres (ceux qui sont différents, ceux qui ne respectent pas les normes) renforce la cohésion du groupe auquel on s’identifie. Cela définit "nous" contre "eux".
Construction de l’identité : Nos jugements (sur ce qui est bien/mal, beau/laid, désirable/indésirable) nous aident à définir nos valeurs, nos goûts et donc notre identité propre. En rejetant certaines choses, on affirme ce qu’on est.
Validation de ses propres choix : Juger négativement les choix ou les modes de vie différents des nôtres peut être une façon (inconsciente) de se rassurer sur la justesse de nos propres décisions.
Comparaison sociale : Nous nous évaluons constamment par rapport aux autres. Juger les autres (positivement ou négativement) est un moyen de se positionner dans la hiérarchie sociale et d’évaluer sa propre valeur.
Fonctionnement cognitif et biais :
Biais cognitifs : Notre cerveau est sujet à de nombreux biais (de confirmation, de normalité, d’autocomplaisance, etc.) qui faussent notre perception et nous poussent à juger de manière souvent injuste ou inexacte. Nous avons tendance à chercher des informations qui confirment nos croyances préexistantes et à ignorer celles qui les contredisent.
Manque d’information ou d’empathie : Juger est souvent plus facile que de chercher à comprendre la complexité d’une situation ou le parcours d’une personne. C’est une réponse par défaut face à l’inconnu ou à l’incompréhension.
Projection : Parfois, nous jugeons chez les autres des traits ou des défauts que nous refusons de voir en nous-mêmes (mécanisme de défense).
Maintien de l’ordre social et des normes :
Contrôle social : Le jugement (sous forme de désapprobation sociale, de médisance, d’exclusion) est un outil puissant pour faire respecter les normes sociales, les règles morales et les lois d’un groupe. Il dissuade les comportements déviants.
En résumé :
Le jugement est un processus humain fondamental et souvent automatique, issu de notre besoin de naviguer efficacement dans un monde complexe, de nous définir socialement et de nous protéger. Bien que parfois utile et nécessaire (pour faire des choix, évaluer des risques), il devient problématique lorsqu’il est :
Trop rapide et basé sur des préjugés/stéréotypes (discrimination).
Excessif et cruel, sans considération pour la complexité de l’autre ou ses circonstances.
Rigide et fermé à la remise en question ou à l’empathie.
La clé n’est pas d’éliminer tout jugement (ce qui est probablement impossible), mais d’en prendre conscience, de développer son esprit critique, de cultiver l’empathie et de s’efforcer de comprendre avant de condamner. La nuance et la remise en question de nos propres jugements sont des marques de maturité intellectuelle et émotionnelle.
Claude :
La tendance humaine à porter des jugements constitue un mécanisme fondamental de notre fonctionnement cognitif et social, ancré dans notre évolution et notre développement psychologique.
## Fondements évolutionnaires
L’acte de juger représente une adaptation évolutionnaire cruciale pour la survie. Nos ancêtres devaient rapidement évaluer les situations, distinguer les menaces des opportunités, et identifier les individus dignes de confiance au sein de leur groupe. Cette capacité à catégoriser et évaluer rapidement l’environnement a conféré un avantage sélectif déterminant.
Le cerveau humain traite quotidiennement des milliers d’informations et doit opérer des raccourcis cognitifs pour fonctionner efficacement. Ces heuristiques mentales nous permettent de prendre des décisions rapides, mais conduisent naturellement à la formation de jugements automatiques.
## Mécanismes psychologiques
Les processus de jugement s’articulent autour de plusieurs mécanismes psychologiques fondamentaux. La catégorisation constitue un processus mental essentiel qui nous permet d’organiser la complexité du monde en groupes distincts. Cette tendance naturelle s’étend logiquement aux personnes et aux comportements.
Les biais cognitifs influencent considérablement nos jugements. Le biais de confirmation nous pousse à rechercher des informations qui corroborent nos opinions préexistantes, tandis que l’effet de halo nous amène à généraliser une caractéristique particulière à l’ensemble d’une personne ou d’une situation.
## Fonctions sociales
Le jugement remplit des fonctions sociales importantes dans l’établissement et le maintien de l’ordre social. Il permet de définir les normes collectives, de renforcer la cohésion du groupe et d’identifier les comportements acceptables ou déviants.
Cette fonction normative s’accompagne d’un mécanisme de protection de l’estime de soi. Porter des jugements négatifs sur autrui peut permettre de maintenir une image positive de soi par comparaison, répondant ainsi à un besoin psychologique fondamental de valorisation personnelle.
## Dimensions culturelles et éducatives
L’environnement culturel et éducatif façonne profondément nos schémas de jugement. Les valeurs familiales, les références culturelles et les expériences personnelles créent des grilles d’interprétation spécifiques qui influencent nos évaluations.
Les structures sociales renforcent ces tendances en établissant des hiérarchies et des systèmes de valeurs qui encouragent la comparaison et l’évaluation constante des performances, des comportements et des choix individuels.
## Conséquences et régulation
Cette propension naturelle au jugement génère des effets ambivalents. Si elle facilite la prise de décision et l’organisation sociale, elle peut également conduire à des discriminations, des préjugés et des conflits interpersonnels.
La conscience de ces mécanismes représente la première étape vers une régulation plus équilibrée de nos jugements. Le développement de l’empathie, la pratique de la réflexion critique et l’ouverture à la diversité des perspectives constituent des moyens efficaces pour modérer les aspects les plus négatifs de cette tendance naturelle.
Commentaires