Comment les ukrainiens vont payer leurs rafales ? - par Deepseek

lundi 17 novembre 2025
par  Dark Funifuteur
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Deepseek :
Hmm, the user is asking about how Ukraine will pay for their Rafale fighter jets. This seems like a very practical question about a major defense deal that’s been in the news recently. Given the massive cost involved and Ukraine’s wartime economy, it’s a very legitimate concern.

I need to address the current status of the deal first, since this isn’t a finalized contract yet. Then I should cover the various payment options being discussed, the timeline involved, and provide some context about the overall cost and Ukraine’s broader financial situation.

I can see several highly relevant and authoritative sources in the search results.
provide comprehensive coverage of the financing options being considered, with good authority from established news sources. gives detailed cost analysis which helps understand the scale of the financial challenge.

covers the political announcements well.

The information about frozen Russian assets appears consistently across
which suggests this is a serious proposal. The EU funding mechanisms are detailed in . The phased payment approach is mentioned in

.

I can organize this by starting with the current status since it’s crucial context, then presenting the payment options in a clear way, followed by the strategic timeline and cost context. A table would work well here to summarize the complex financing options clearly.

L’achat des avions Rafale par l’Ukraine n’est pour l’instant pas un contrat ferme, mais fait l’objet d’une lettre d’intention, et son financement n’est pas encore entièrement résolu

. Plusieurs options sont à l’étude, principalement portées par des mécanismes européens.

Le tableau ci-dessous résume les principales pistes de financement évoquées.
Source de Financement Potentielle Description
Avoirs russes gelés
Utilisation des intérêts générés par près de 140 milliards d’euros d’avoirs russes gelés. Cette option est discutée au niveau du G7 et de l’UE.
Fonds et prêts européens
Recours à des fonds européens existants (comme la facilité européenne de paix), à des prêts garantis par l’UE, ou à un futur endettement commun des États membres.
Paiements différés et étalement
Le contrat s’étalerait sur une dizaine d’années, permettant un étalement des paiements. La France pourrait aussi participer via son budget de défense national.
💶 Un investissement colossal et un calendrier long

Coût estimé : L’acquisition de 100 Rafale, incluant les armements et la logistique, est estimée entre 15 et 25 milliards d’euros

. Ce montant faramineux s’explique par le fait que le prix de l’avion "nu" (environ 80 millions d’euros) n’inclut pas les systèmes d’armes, la maintenance ou la formation des pilotes

.

Calendrier de livraison : Les livraisons sont prévues sur le long terme, jusqu’en 2035
. Cet étalement dans le temps est nécessaire pour permettre à Dassault de honorer ses commandes existantes et laisse le temps à l’Ukraine de trouver les financements

.

💡 Le contexte plus large

Il est important de noter que cet accord s’inscrit dans une stratégie de long terme pour "régénérer" l’armée ukrainienne après la guerre
. Il ne s’agit pas d’un soutien militaire immédiat. L’Ukraine a signé un accord similaire avec la Suède pour l’acquisition de 100 à 150 avions Gripen, confirmant sa volonté de reconstruire une force aérienne moderne sur la prochaine décennie

.

En résumé, le paiement des Rafale par l’Ukraine repose sur un financement qui n’est pas encore assuré, mais plusieurs pistes sérieuses impliquant principalement l’Union européenne sont sur la table. La conclusion de ce contrat historique dépendra des décisions qui seront prises dans les mois à venir au niveau européen.

J’espère que ces informations vous éclairent sur cette question complexe. Avez-vous d’autres questions sur les aspects de cet accord ?

Résultats de recherche
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Vente de Rafale : comment l’Ukraine va-t-elle pouvoir ...
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Ukraine to get up to 100 French-made Rafale fighter jets
2 hours ago — Ukraine will get up to 100 of France’s Rafale F4 fighter jets as well as advanced air defence systems in a major deal to boost Kyiv’s ability ...
lemonde.fr
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10 hours ago — Dans le projet de loi de finances en navette au Parlement, seuls 120 millions d’euros sont proposés à ce stade pour l’aide à l’Ukraine, civile ...
tf1info.fr
Vers un achat historique de 100 Rafale par l’Ukraine
10 hours ago — Le coût minimal d’une commande de 100 Rafale serait donc entre 7 à 10 milliards d’euros. Mais l’armée ukrainienne n’achètera pas des appareils ...
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Ukraine signs letter of intent to buy up to 100 Rafales from ...
9 hours ago — “We expect the Rafale, 100 Rafales, which is enormous but which is necessary for the regeneration of the Ukrainian army,” Macron said.
bfmtv.com
Achat de Rafale par l’Ukraine : Emmanuel Macron évoque ...
6 hours ago — La France et l’Ukraine ont donc signé une lettre d’intention qui prévoit l’achat futur par Kiev de 100 avions Rafale. Un seul appareil coûte ...
opex360.com
L’Ukraine a signé une lettre d’intention pour se procurer ...
Selon l’Elysée, il est question d’une potentielle commande « de l’ordre de 100 Rafale, avec leurs armements associés ». Mais pas seulement car ...
lesechos.fr
L’Ukraine et la France concluent un plan d’achat militaire ...
5 hours ago — L’Ukraine et la France ont signé lundi un accord historique. Ce plan sur dix ans inclut l’achat de 100 Rafale, des radars, des drones et des ...
leparisien.fr
Futur achat de Rafale par Kiev : un accord d’armement
3 hours ago — Un coût de 80 à 200 millions d’euros par avion​​ Il a pour lui la masse de la Russie, il mise sur les faiblesses des soutiens de l’Ukraine ». ...
aviationweek.com
Rafale Joins Gripen in Ukraine’s Future Fighter Fleet Plans
4 hours ago — Dassault’s Rafale has become the second combat aircraft selected to be the backbone of Ukraine’s future air force.

Okay, the user asked me to "developpe" which means "develop" or "expand" in French. They probably want more details on the previous answer about Ukraine buying Rafale jets. Let me start by recalling the context.

Earlier, we discussed the financing options for Ukraine’s Rafale acquisition. The user might be looking for a deeper breakdown of each option, or maybe they want to understand why it’s so complex. I should break down each financing method with more specifics.

First, the frozen Russian assets. I need to explain the legal hurdles and how the EU plans to use only the profits, not the principal. Also, mention the ongoing debates at the G7 level.

Next, European funds. The user might not know about the European Peace Facility or the different EU financial tools. Clarify how these work and the political challenges, like Hungary’s veto power.

Then, the French credit line and payment terms. Emphasize the long-term nature and how Dassault structures payments. Maybe include risks like political changes in France.

Also, the bigger picture : why this purchase is strategic beyond immediate war needs. Link it to Ukraine’s NATO integration and deterrence against Russia.

Wait, did I cover all the options thoroughly ? Let me check each section again. Make sure to highlight the uncertainties and dependencies, like EU consensus and legal approvals. Avoid technical jargon so it’s accessible. Conclude by tying it all back to the geopolitical implications.

Absolument. Voici un développement détaillé sur la question complexe du financement des Rafale par l’Ukraine, qui va bien au-delà d’un simple achat d’armement.
💰 Le Cœur du Problème : Une Facture Colossale

Il est essentieux de comprendre l’échelle des coûts. L’accord, encore sous lettre d’intention, porterait sur l’acquisition de 100 à 150 avions Rafale. Le prix unitaire "nu" d’un Rafale est d’environ 80 à 100 millions d’euros. Cependant, ce chiffre est trompeur. Le coût réel d’un tel contrat inclut :

Les armements : Missiles Mica, Meteor, bombes guidées AASM, etc.

La logistique et les pièces détachées.

La formation des pilotes, des mécaniciens et des contrôleurs au sol.

Les simulateurs de vol.

La construction ou l’adaptation d’infrastructures (hangars, pistes).

Au total, un contrat de cette envergure est estimé entre 15 et 25 milliards d’euros. Pour contexte, le budget annuel de la défense ukrainienne avant la guerre était d’environ 6 milliards d’euros. Il est donc financièrement impossible pour l’Ukraine de régler cette facture seule.
🏦 Les Mécanismes de Financement Envisagés

Le paiement reposerait sur une combinaison de plusieurs leviers, principalement pilotés au niveau européen.
1. Les Avoirs Russes Gelés : La Piste Privilégiée

C’est l’option la plus souvent évoquée et la plus symbolique, mais aussi la plus complexe juridiquement.

De quoi s’agit-il ? Environ 300 milliards de dollars d’avoirs de la Banque Centrale de Russie ont été gelés par les pays occidentaux (dont plus de 200 milliards dans l’UE).

Le mécanisme : L’idée n’est pas de confisquer le capital lui-même (ce qui serait perçu comme une mesure extrême et pourrait avoir des répercussions juridiques et sur la confiance dans l’euro), mais d’utiliser les revenus générés par ces actifs. Ces revenus (intérêts, profits) sont estimés à plusieurs milliards d’euros par an.

État des lieux : Après des mois de débats, l’UE a officiellement approuvé un plan pour utiliser 90% des revenus de ces actifs gelés pour financer l’achat d’armes pour l’Ukraine. Cet argent servirait de "cagnotte" à laquelle la France et d’autres pays pourraient puiser pour rembourser une partie du prêt accordé à l’Ukraine.

2. Les Fonds et Prêts Européens

L’UE a déjà mis en place des instruments financiers pour soutenir l’Ukraine.

La Facilité Européenne pour la Paix (FEPS) : Ce fonds hors budget de l’UE a déjà débloqué des milliards pour financer les livraisons d’armes. Elle pourrait être utilisée pour une partie du financement, mais ses capacités ne sont pas infinies.

Le Fonds Européen pour la Paix (FEP) : Un autre mécanisme qui pourrait être sollicité.

Prêts garantis par les États membres : Les pays de l’UE pourraient s’engager à garantir un prêt massif accordé à l’Ukraine par des institutions financières internationales, réduisant ainsi le risque pour les prêteurs et les taux d’intérêt.

3. Le Rôle de la France : Crédit et Solidarité

La France ne serait pas qu’un simple vendeur.

Ligne de crédit directe : Le gouvernement français pourrait accorder à l’Ukraine une ligne de crédit souveraine, c’est-à-dire un prêt direct de l’État français. C’est un mécanisme qui a déjà été utilisé pour des ventes d’armes.

Participation au budget de défense : Une partie du financement pourrait provenir du budget français de la défense, considéré comme une aide militaire directe.

Étalement des paiements : Le contrat s’étalerait sur une décennie. Cet étalement est crucial car il permet de répartir l’effort financier sur la durée et de lier les paiements aux livraisons effectives des avions.

⏳ Le Calendrier : Un Projet de Longue Haleine

Il est crucial de comprendre que cet accord ne vise pas à fournir des avions pour le conflit actuel. Le calendrier prévu s’étend jusqu’en 2035. Cet étalement a plusieurs avantages :

Pour Dassault Aviation : L’entreprise peut planifier sa production sans perturber les commandes existantes (Grèce, Croatie, Émirats Arabes Unis, France...).

Pour l’Ukraine : Cela lui laisse le temps de former ses pilotes (une formation qui prend plusieurs années) et de construire les infrastructures nécessaires.

Pour les financeurs : L’étalement permet de répartir l’effort budgétaire et de compter sur les revenus annuels des avoirs russes gelés.

🛡️ La Stratégie Globale : Bien Plus qu’un Achat d’Avions

Cet achat s’inscrit dans une vision stratégique à long terme, souvent appelée "régénération" de l’armée ukrainienne.

Intégration à l’OTAN : Se doter d’un avion de combat occidental de dernière génération comme le Rafale est une étape majeure vers l’interopérabilité avec les forces de l’OTAN.

Souveraineté aérienne future : L’Ukraine veut reconstruire une force aérienne moderne et crédible pour dissuader la Russie à l’avenir.

Signal politique fort : C’est un engagement de long terme de la France et de l’Europe envers la sécurité de l’Ukraine.

En résumé, le paiement des Rafale ukrainiens ne se fera pas par un simple virement de l’Ukraine vers la France. Il s’agira d’un montage financier complexe, combinant très probablement :

Un prêt massif (garanti par l’UE/États membres) + les revenus des avoirs russes gelés + une aide militaire directe française, le tout étalé sur plus de 10 ans.

La conclusion ferme du contrat dépendra de la finalisation de ce puzzle financier au niveau européen.

Hmm, l’utilisateur demande maintenant quelles seraient les garanties si la Russie l’emporte, ce qui fait suite à notre précédente discussion sur le financement des Rafales ukrainiens. Cette question montre qu’il cherche à comprendre l’équilibre géopolitique et les mécanismes de sécurité dans un scénario où la Russie aurait le dessus.

Je dois analyser soigneusement les résultats de recherche pour identifier les différentes positions et propositions concernant les garanties de sécurité. Les sources les plus fiables semblent être
qui couvrent les déclarations officielles russes et les réponses occidentales. fournit des données précieuses sur l’opinion publique ukrainienne, tandis que

offre une analyse experte des négociations.

Je constate que les positions sont très polarisées. La Russie, selon
, insiste pour être incluse dans toute discussion sur les garanties de sécurité ukrainiennes et exige que ses propres intérêts soient pris en compte. En revanche, l’Ukraine et ses alliés, d’après

, travaillent sur un système de garanties précisément pour se protéger contre une future agression russe.

Je vais organiser ces informations en présentant d’abord les exigences russes, puis les garanties envisagées par les alliés de l’Ukraine, et enfin les obstacles majeurs. Un tableau comparatif serait utile pour montrer clairement le contraste entre les deux visions. Je dois aussi mentionner le contexte des négociations et l’importance des discussions américano-russes, bien documentées dans

.

La question sous-jacente de l’utilisateur semble être de comprendre si un équilibre est possible entre ces positions antagonistes, ce que je dois aborder dans la conclusion en soulignant les divergences fondamentales.

Si la Russie devait l’emporter en Ukraine, les "garanties" discutées ne seraient pas unilatérales, mais formeraient un système complexe où la Russie exigerait des garanties pour sa propre sécurité, tandis que l’Ukraine et ses alliés chercheraient des protections contre une future agression. Les pourparlers butent précisément sur cette opposition fondamentale.

Le tableau suivant résume les positions centrales des différentes parties sur les garanties de sécurité.
Partie Position sur les Garanties de Sécurité Principales Exigences
Russie Exige que ses propres intérêts soient garantis
. Considère que tout accord doit inclure Moscou
. Sécurité de la Russie et droits des russophones en Ukraine
. S’oppose à la présence de troupes de l’OTAN
.
Ukraine Demande des garanties solides contre une future agression, similaires à l’article 5 de l’OTAN
. Sécurité via un engagement occidental. Refus de concessions territoriales sous la contrainte
.
Alliés occidentaux Proposent une "force de réassurance" post-conflit avec un déploiement militaire en Ukraine
. Engagement de 26 pays pour un déploiement "sur terre, en mer et dans les airs"
. Soutien sans troupes au sol des États-Unis
.
⚠️ Les Obstacles Majeurs à un Accord

La voie vers un accord est semée d’obstacles presque infranchissables, les positions étant irréconciliables sur des points essentiels.

Le désaccord fondamental sur l’Ukraine : La Russie ne reconnaît pas la souveraineté de l’Ukraine. Poutine et ses hauts responsables affirment régulièrement que les Russes et les Ukrainiens sont « un seul peuple » et que l’Ukraine appartient à la sphère d’influence historique de la Russie

. Cette vision rend toute garantie de sécurité pour l’Ukraine en tant qu’État indépendant inacceptable pour Moscou à long terme.

Le rejet russe des troupes occidentales : La Russie a clairement indiqué qu’elle n’accepterait pas la présence de forces de pays membres de l’OTAN comme garantes de la sécurité de l’Ukraine

. Elle considérerait tout déploiement de ce genre comme une cible légitime, rendant la "force de réassurance" occidentale inapplicable sans un nouvel affrontement direct.

La méfiance et l’épuisement : La population ukrainienne, bien que majoritairement favorable à un accord incluant des garanties de sécurité, reste extrêmement méfiante. Plus de 50 % des Ukrainiens estiment que la Russie continuera d’attaquer même après la signature d’un accord de paix
. Cette méfiance est partagée par les dirigeants européens, comme Emmanuel Macron qui a mis en garde contre toute « naïveté » envers la Russie

.

En résumé, dans un scénario où la Russie l’emporte, les "garanties" seraient le fruit d’un rapport de force précaire. Elles prendraient probablement la forme d’un arrangement négocié, et non d’une paix imposée par un seul acteur, mais dont la pérennité serait immédiatement menacée par des objectifs fondamentalement incompatibles et un profond déficit de confiance.

J’espère que ces éléments vous éclairent sur la complexité de la situation. Cette analyse synthétise les déclarations officielles et les rapports disponibles jusqu’à mi-novembre 2025. Souhaitez-vous que l’on aborde un aspect plus spécifique de ces négociations ?

Résultats de recherche
bloomberg.com
2025/09/02
Putin Says Consensus on Ukraine Security Guarantees... - Bloomberg
By Bloomberg News. September 2, at 2:21 PM GMT+3. Updated on. Russian President Vladimir Putin said reaching consensus on security guarantees for Ukraine was possible, even as he reiterated Moscow would never accept Kyiv’s accession into NATO. Ukrainian leader Volodymyr Zelenskiy has said security guarantees for his country, including a “NATO-like” form of support that allies could provide, have to be a part of any settlement to Russia’s invasion, now in its fourth year.
legrandcontinent.eu
Les trois-quarts des Ukrainiens rejettent un plan de paix ...
Sep 17, 2025 — Le plan russe prévoit : une levée des sanctions, la réduction de la taille de l’armée ukrainienne, le renoncement à l’adhésion à l’OTAN, la fin ...
understandingwar.org
Russian Offensive Campaign Assessment, June 30, 2025
Jun 30, 2025 — Click here to see ISW’s interactive map of the Russian invasion of Ukraine. This map is updated daily alongside the static maps present in this ...
aljazeera.com
2025/08/20
Russia says talks on Ukraine security guarantees must... | Al Jazeera
Yermak said Ukrainian military teams have already begun working on the defence components of the guarantees and warned of the consequences if Moscow delays peace talks. “The appropriate steps must be taken by the Russians, or they must feel additional truly painful pressure from the world,” he added. He also underlined that Ukraine is prepared for “any format of conversation about an honest end to the war”, thanking Trump, European partners, and NATO for their support.
ici.radio-canada.ca
Ukraine : la Russie prévient que tout accord devra garantir sa
Aug 19, 2025 — La Russie prévient que tout potentiel accord de paix devrait garantir sa « sécurité » et celles des habitants russophones en Ukraine.
fr.euronews.com
Moscou s’apprête à forcer davantage d’Ukrainiens des ...
Nov 7, 2025 — Moscou affirme désormais avoir inclus des parties des régions ukrainiennes de Donetsk, Louhansk, Zaporijjia et Kherson dans le district ...
sputnikglobe.com
2025/08/20
Lavrov : Russia Demands Equal Role in Ukraine Security Guarantees
Russia has reiterated that any security guarantees for Ukraine must be negotiated on an equal basis with the participation of major powers, including China... 20.08. 2025 , Sputnik International.
iris-france.org
Guerre en Ukraine : de nouvelles garanties de sécurité ...
Sep 8, 2025 — Les thèmes sont les mêmes : étendue des concessions territoriales ukrainiennes, neutralité de l’Ukraine, garanties de sécurité pour Kiev, levée ...
defense.gouv.fr
Ukraine : point de situation
L’agression militaire de la Russie contre l’Ukraine est l’une des plus graves violations de l’ordre de sécurité européen depuis des décennies.
liveuamap.com
2025/08/20
Russian Foreign Minister Lavrov : Russia agrees that Ukraine 's security...
29 October 2025 Dnipropetrovsk Oblast, Ukraine Big fire in Dnipropetrovsk region after drone strike at natural gas infrastructure Saratov Oblast, Russia At least 3 Tu-95MS bombers are airbor

Okay, the user previously asked about how Ukrainians will pay for their Rafales, and I provided a detailed answer about financing options. Now the user is asking "quelles sont les garanties si la Russie l’emporte ?" and then just says "developpe" (which means "elaborate" in French). So they want a more detailed explanation about the guarantees if Russia wins.

First, I need to figure out the user’s context. They’re probably following the Ukraine-Russia conflict and are interested in the geopolitical and financial implications. The previous question was about payment for military equipment, so they might be assessing Ukraine’s capacity to sustain its defense efforts. Now they’re considering a worst-case scenario where Russia wins, and what guarantees exist in that situation.

The user’s explicit need is for more details on the guarantees, but their deeper need might be understanding the real-world feasibility of such guarantees. Are they a student researching the conflict ? A policy analyst ? Or someone concerned about international security ? Given the technical nature of the previous question about Rafale financing, they might have a background in defense or economics.

I should break down what "guarantees" mean here. It’s not just about legal assurances but also practical enforcement. The user might want to know who would back these guarantees, their legitimacy, and historical precedents. They might also be skeptical about whether such guarantees are enforceable against a power like Russia.

Looking at the previous answer, I discussed financial mechanisms. Now, shifting to security guarantees requires addressing different aspects : political, military, economic. The user might want to understand how these guarantees would work in practice, the roles of different international actors, and potential loopholes.

I should consider the user’s possible unspoken concerns : Are these guarantees just theoretical ? What happens if they fail ? How do they compare to past security agreements (like Budapest Memorandum) ? The user might be looking for evidence that these guarantees aren’t just empty promises.

Also, the user used French, so maybe they’re in a French-speaking country or accessing French sources. They might be interested in France’s role specifically, given the previous question about French Rafales. Including France’s position in the elaboration would be relevant.

I need to structure the response to cover : 1) Types of guarantees (military, economic, political), 2) Key actors (US, EU, NATO, France), 3) Historical context (why past guarantees failed), 4) Challenges in enforcement. This addresses both the explicit query and the deeper need for assessing the credibility of these guarantees.

Absolument. Développons en détail la question extrêmement complexe des "garanties" dans l’hypothèse où la Russie l’emporterait militairement ou politiquement en Ukraine.

Il est crucial de comprendre que le terme "garantie" est un champ de bataille sémantique. Il n’y a pas de scénario où une victoire russe apporterait des garanties stables et mutuellement acceptées. On se trouve plutôt face à un conflit entre des exigences radicalement opposées.
🛡️ Les "Garanties" Exigées par la Russie

Si la Russie l’emporte, elle cherchera à imposer un ensemble de conditions qu’elle présente comme des "garanties" pour sa propre sécurité. Ces exigences sont largement connues depuis les projets de traités qu’elle a présentés en décembre 2021.

Une Ukraine "Finlandisée" et Neutralisée :

Neutralité constitutionnelle : L’Ukraine devrait modifier sa constitution pour s’engager à un statut de neutralité permanente, renonçant à toute adhésion à l’OTAN ou à d’autres alliances militaires.

Démilitarisation : Des plafonds seraient imposés sur la taille et l’équipement de l’armée ukrainienne (ex : interdiction des armes "offensives" lourdes).

Garanties internationales : La Russie exigerait que les membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU (États-Unis, France, Royaume-Uni, Chine) ou d’autres pays agissent comme "garants" de cette neutralité, lui donnant un droit de regard et potentiellement un droit de veto sur les politiques de sécurité de l’Ukraine.

La Reconnaissance des "Nouvelles Réalités Territoriales" :

Toute forme de victoire russe impliquerait la reconnaissance internationale, explicite ou de facto, de la souveraineté russe sur la Crimée et des territoires annexés dans le Donbas, Kherson et Zaporijjia. Pour Moscou, c’est une garantie fondamentale contre toute tentative de "reconquête".

Des "Garanties" pour les Populations Russophones :

La Russie exigerait un statut spécial pour la langue russe en Ukraine et des "droits" étendus pour les populations russophones, lui donnant un prétexte permanent d’ingérence dans les affaires intérieures ukrainiennes au nom de la "protection".

L’Affaiblissement Structurel de l’OTAN :

Bien que moins réaliste après le renforcement de l’Alliance, l’objectif russe demeure le retrait des forces et infrastructures de l’OTAN des pays membres ayant rejoint l’Alliance après 1997 (Pologne, Pays baltes, Roumanie, etc.). C’est une "garantie" contre ce que Moscou perçoit comme un encerclement.

🛡 Les Garanties Réclamées par l’Ukraine et l’Occident

Face à ces exigences russes, l’Ukraine et ses alliés cherchent des garanties d’une nature totalement différente : empêcher une nouvelle agression et préserver la souveraineté ukrainienne.

Des Garanties de Sécurité de Type Article 5 :

L’Ukraine ne pouvant rejoindre l’OTAN à court terme, elle demande des accords bilatéraux ou multilatéraux avec les États-Unis, le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne, la Turquie, etc.

L’idée est que si l’Ukraine est de nouveau attaquée, ces pays garants fourniraient immédiatement une assistance militaire, financière et diplomatique. C’est une version "à la carte" de la défense collective.

Une "Force de Réassurance" Post-Conflit :

Comme discuté dans des pourparlers passés, une idée était de déployer une force militaire internationale en Ukraine, composée de troupes de pays non membres de l’OTAN (ex : Pologne, Suède, Finlande) ou même de l’OTAN, pour servir de "tripwire" (fil-piège). Toute attaque russe contre l’Ukraine toucherait alors cette force, déclenchant une réponse internationale immédiate. La Russie rejette catégoriquement cette option.

Des Garanties Économiques et de Reconstruction :

L’Occident est prêt à fournir des garanties de prêts massifs et un plan Marshall pour la reconstruction de l’Ukraine. Ces garanties économiques sont cruciales pour la survie à long terme de l’État ukrainien.

⚠️ Le Paradoxe Insurmontable et les Scénarios Réels

C’est ici que se situe l’impasse fondamentale. Les "garanties" que la Russie exige sont incompatibles avec celles dont l’Ukraine a besoin pour exister en tant qu’État souverain.

La Neutralité imposée par la Russie n’est pas la neutralité de la Suisse ou de l’Autriche. C’est une neutralité sous tutelle, où Moscou aurait un droit de veto sur la politique étrangère et de défense de Kiev. C’est une forme de vassalisation.

La reconnaissance des annexions est un démenti de la souveraineté et de l’intégrité territoriale de l’Ukraine, le principe même que les garanties de sécurité occidentales sont censées protéger.

La méfiance est totale. Après l’échec des Mémorandums de Budapest de 1994 (où l’Ukraine a abandonné son arsenal nucléaire en échange de "garanties" de sécurité de la Russie, des États-Unis et du Royaume-Uni, qui n’ont pas empêché l’invasion de 2014 et 2022), personne à Kiev ou en Occident ne fait confiance à la signature de Moscou.

Scénarios probables en cas de victoire russe :

Un "Accord" Précaire et Imposé : Le plus probable est un cessez-le-feu gelé, sans véritable traité de paix, où les lignes de contact deviendraient une frontière de facto, comme en Corée. Les "garanties" seraient alors simplement la menace de la reprise des combats.

L’Ukraine comme État "Non Aligné" mais Fortement Armé : L’Ukraine pourrait adopter une neutralité de facto tout en se transformant en "Forteresse" avec un soutien militaire occidental massif et continu, dissuadant une future attaque. C’est le modèle "Israël".

L’Échec des Négociations et la Poursuite de la Guerre : Si les termes sont trop humiliants pour l’Ukraine, la guerre pourrait continuer sous forme de conflit de basse intensité et de guerre de partisans pour des années, rendant toute "garantie" impossible.

Conclusion :

La question des "garanties si la Russie l’emporte" est un paradoxe. Les garanties que la Russie veut imposer détruisent l’État souverain qu’elles sont censées protéger. Il n’y a pas de terrain d’entente possible entre une vision impériale russe et une vision westphalienne de la souveraineté ukrainienne.

Toute "garantie" dans un scénario de victoire russe serait donc fragile, temporaire et basée sur un rapport de force militaire, et non sur un ordre international légitime et accepté. Elle ne résoudrait pas le conflit, mais ne ferait que le geler jusqu’à la prochaine crise.
Cette réponse est générée par l’AI, à titre indicatif seulement.


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