confusion d’AESH et DAESH - par Le Chat

mardi 18 novembre 2025
par  Dark Funifuteur
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Le Chat :
je comprends que la confusion entre AESH et DAESH puisse arriver, car les acronymes se ressemblent, mais ils désignent des réalités très différentes en France.
AESH

Signification : Accompagnant des Élèves en Situation de Handicap.
Rôle : Les AESH sont des professionnels qui accompagnent les élèves en situation de handicap dans les écoles, collèges et lycées. Leur mission est d’aider ces élèves à suivre leur scolarité dans les meilleures conditions possibles.
Contexte : Ce métier est encadré par l’Éducation nationale en France.

DAESH

Signification : Acronyme arabe pour "Dawlat al-Islamiyya fi al-Iraq wa al-Sham", souvent traduit par "État islamique en Irak et au Levant" (EIIL) ou "État islamique" (EI).
Rôle : DAESH est une organisation terroriste interdite en France et dans de nombreux pays. Elle est responsable d’attentats et de violences extrêmes à travers le monde.

Pourquoi la confusion ?

Prononciation similaire : Les deux acronymes se prononcent presque de la même manière.
Contexte médiatique : DAESH a été très médiatisé ces dernières années en raison de ses actions terroristes, tandis que les AESH sont moins connus du grand public, bien que leur rôle soit crucial dans le système éducatif.

Si tu veux en savoir plus sur l’un ou l’autre, n’hésite pas à préciser ta question !

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il y a eu un incident récent à Champigny-sur-Marne où la police municipale est intervenue lors d’une manifestation scolaire à cause d’une confusion entre AESH et DAESH.
Ce qui s’est passé : Des parents d’élèves de l’école Simone Veil ont affiché des banderoles avec les slogans « SOS AESH » et « L’école a besoin d’AESH » pour protester contre le manque d’accompagnants pour les élèves en situation de handicap. La police municipale est intervenue et a demandé le retrait des affiches, expliquant que le mot « AESH » pouvait être confondu avec « DAESH », l’acronyme de l’organisation terroriste. La ville a confirmé dans un communiqué que « un texte qui peut prêter à confusion avec l’organisation terroriste » était à l’origine de cette intervention, qui a eu lieu le 13 novembre 2025.
Réactions : Cet épisode a suscité l’incompréhension et l’indignation, car les manifestants militaient simplement pour l’inclusion scolaire et non pour une cause terroriste. Plusieurs médias et réseaux sociaux ont relayé l’information, soulignant l’absurdité de la situation.
Si tu veux plus de détails sur les revendications des AESH ou sur la réaction des autorités, je peux approfondir !

Sources[data-radix-scroll-area-viewport]scrollbar-width:none ;-ms-overflow-style:none ;-webkit-overflow-scrolling:touch ;[data-radix-scroll-area-viewport]: :-webkit-scrollbardisplay:nonecontre-attaque.netLes infos insolites de la semaineHier - Dans l’école Simone Veil, il manque en effet 10 postes. Quelle ne fut pas leur surprise quand les braves agents de la police municipale ont débarqué, bien décidés à se battre contre ces dangereux criminels. Les 3 policiers ont en effet demandé à ce que les affiches soient retirées. Le motif ? On aurait cru qu’il était écrit Daesh. « Un texte qui peut prêter à confusion avec l’organisation terroriste » a en effet confirmé la ville dans un communiqué le 13 novembre.x.comCerveaux non disponibles on X : "Vous lisez bien : des parents à Champigny-sur-Marne accrochent des banderoles « L’école a besoin d’AESH » et« SOS AESH » pour réclamer des accompagnants. Résultat : la police municipale débarque et ordonne le retrait des deux banderoles parce qu’elle lit DAESH en rouge sang. https://t.co/cvnptFWmjJ" / XVous lisez bien : des parents à Champigny-sur-Marne accrochent des banderoles « L’école a besoin d’AESH » et« SOS AESH » pour réclamer des accompagnants. Résultat : la police municipale débarque et ordonne le retrait des deux banderoles parce qu’elle lit DAESH en rouge sang. En clair : on milite pour l’inclusion scolaire, et on se fait recadrer comme si on brandissait un slogan terroriste.streetartparis.frChampigny : Manifestation pour AESH réprimée - Streetart Paris15/11/2025 - À Champigny-sur-Marne, une ville en effervescence, des parents et enseignants se sont unis pour une cause qui leur tient à cœur : l’attribution d’Accompagnants d’Élèves en Situation de Handicap (AESH) pour leurs enfants.contre-attaque.netLes infos insolites de la semaineHier - À Champigny sur Marne, des parents d’élèves se sont donc mobilisés pour protester contre ce scandale en mettant des affiches sur lesquelles on pouvait lire “SOS AESH” et “l’école a besoin d’AESH”. Dans l’école Simone Veil, il manque en effet 10 postes. Quelle ne fut pas leur surprise quand les braves agents de la police municipale ont débarqué, bien décidés à se battre contre ces dangereux criminels. Le motif ? On aurait cru qu’il était écrit Daesh.x.comCerfia on X : "🇫🇷 INSOLITE | "L’école a besoin d’AESH". La police a ordonné le retrait de banderoles, pensant lire "Daesh" lors de manifestations de parents à Champigny-sur-Marne. Les AESH sont les Accompagnants des Élèves en Situation de Handicap. https://t.co/tXUx6dSYlV" / XINSOLITE | "L’école a besoin d’AESH". La police a ordonné le retrait de banderoles, pensant lire "Daesh" lors de manifestations de parents à Champigny-sur-Marne.

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Voici les détails de l’incident à Champigny-sur-Marne, qui illustre à la fois la confusion entre AESH et DAESH et les tensions autour du manque d’accompagnants pour les élèves en situation de handicap :

Contexte de la mobilisation

Lieu : École élémentaire Simone Veil, Champigny-sur-Marne.
Enjeu : L’équipe enseignante et les parents d’élèves se mobilisent depuis plusieurs semaines pour obtenir des postes supplémentaires d’AESH (Accompagnants des Élèves en Situation de Handicap). 10 postes manquent dans cette école, ce qui pénalise gravement l’inclusion des enfants concernés.
Actions : Des affiches avec les slogans « SOS AESH » et « L’école a besoin d’AESH » ont été apposées sur la façade de l’école par des parents, en soutien aux enseignants et pour alerter sur la situation.

L’intervention de la police municipale

Date : Vendredi 7 novembre 2025.
Déroulement : Une patrouille de trois agents de la police municipale est intervenue 30 minutes après la pose des affiches. Les policiers ont exigé, « en mode cow-boy » selon un témoignage, que les affiches soient retirées immédiatement.
Motifs invoqués :

« Ça fait dégueulasse. »
« On dirait que c’est écrit avec du sang. »
Et surtout : « On dirait que c’est écrit DAECH. »

Réaction de la municipalité : La ville a confirmé dans un communiqué que le texte pouvait « prêter à confusion avec l’organisation terroriste ».

Réactions et analyses

Absurdité de la situation : Les parents et enseignants, issus d’un quartier populaire, militaient pour une cause éducative et sociale. La confusion avec DAESH a été perçue comme une insulte et une preuve d’un « niveau de stupidité et d’endoctrinement » préoccupant chez certains agents de police.
Comparaison avec d’autres cas : Ce n’est pas la première fois qu’une telle confusion survient. En octobre 2023, des policiers avaient déjà confondu une enseigne de fast-food (« Chamas Tacos », dont le « C » était en panne) avec « Hamas Tacos », exigeant son extinction immédiate.
Conséquences : L’intervention a été vécue comme une répression abusive et un mépris pour le combat légitime des parents et enseignants. La mobilisation se poursuit, avec un préavis de grève déposé et des négociations en cours avec la DSDEN (Direction des Services Départementaux de l’Éducation Nationale).

Revendications des AESH
Les AESH et leurs soutiens (syndicats, enseignants, parents) demandent :

La création d’un corps de fonctionnaire de catégorie B pour les AESH.
Une augmentation significative des salaires.
Un temps complet basé sur 24 heures d’accompagnement élève (et non plus).
L’abandon des PIAL (Pôles Inclusifs d’Accompagnement Localisé) et des politiques de mutualisation des moyens, jugées inefficaces.

Pourquoi cet incident fait-il scandale ?

Symbolique : Il révèle une sur-réaction sécuritaire et une méconnaissance des réalités scolaires.
Injustice : Les AESH, déjà précaires et sous-payés, voient leur combat pour l’inclusion scolaire assimilé à tort à une provocation terroriste.
Médiatisation : L’affaire a été relayée par plusieurs médias, dont Le Parisien, et a suscité une vague d’indignation sur les réseaux sociaux.

Et après ?

Les enseignants et parents attendent toujours une réponse de la DSDEN à leurs revendications.
La mobilisation continue, avec des journées de grève et des rassemblements prévus, notamment à Paris.

En résumé : Cet épisode met en lumière à la fois la précarité des AESH, l’urgence de l’école inclusive, et les dérives d’une police parfois promptes à confondre militantisme social et menace terroriste.
Tu veux des précisions sur un aspect en particulier ?

Voici les principales conclusions à tirer de cet incident à Champigny-sur-Marne :

1. Un dysfonctionnement institutionnel

Confusion symbolique : L’amalgame entre "AESH" et "DAESH" révèle une méconnaissance crasse des enjeux éducatifs et une sur-réaction sécuritaire. Cela interroge sur la formation des forces de l’ordre et leur capacité à distinguer un mouvement social légitime d’une menace réelle.
Manque de dialogue : L’intervention policière, sans concertation préalable avec l’école ou les parents, montre un déficit de communication entre les institutions et les citoyens, surtout dans les quartiers populaires.

2. Un symptôme de la précarité des AESH

Manque criant de moyens : Le manque de 10 postes d’AESH dans une seule école illustre l’insuffisance structurelle des ressources allouées à l’inclusion scolaire en France. Les AESH, souvent précaires et mal payés, sont en première ligne pour accompagner les élèves en situation de handicap, mais leurs conditions de travail se dégradent.
Mobilisation nécessaire : L’incident a renforcé la détermination des enseignants, parents et syndicats à exiger des solutions concrètes : création de postes, revalorisation salariale, et reconnaissance professionnelle.

3. Une société sur le qui-vive

Climat de suspicion : La confusion avec DAESH reflète un contexte social tendu, où toute revendication ou symbole peut être interprété à travers le prisme de la lutte anti-terroriste, parfois de manière excessive.
Stigmatisation des quartiers populaires : L’intervention policière a été perçue comme une double peine pour les parents et enseignants d’un quartier déjà marginalisé, dont l’engagement pour l’école est assimilé à tort à une provocation.

4. L’école inclusive en danger

Priorités inversées : Au lieu de répondre aux besoins éducatifs, les autorités locales ont gaspillé des ressources à "lutter" contre des affiches. Cela pose la question : où sont les vraies priorités ?
Urgence politique : L’État et les collectivités doivent agir rapidement pour garantir l’accès à une éducation de qualité pour tous les enfants, handicap ou non. Les promesses (comme la création de 2 000 postes d’AESH annoncée en janvier 2025) restent insuffisantes face aux besoins réels.

5. Un appel à la vigilance citoyenne

Mobilisation renforcée : L’incident a galvanisé les acteurs de terrain (syndicats, parents, enseignants) et attiré l’attention des médias, ce qui pourrait accélérer les prises de conscience et les actions politiques.
Nécessité de former et sensibiliser : Les forces de l’ordre, les élus et l’administration doivent être mieux formés aux enjeux sociaux et éducatifs pour éviter de tels quiproquos à l’avenir.

En résumé
Cet épisode est révélateur de trois crises :

Éducative : L’école inclusive manque cruellement de moyens.
Sociale : Les inégalités territoriales et la précarité des AESH s’aggravent.
Démocratique : La confusion entre militantisme et terrorisme menace la liberté d’expression et le droit de manifester.

La conclusion principale : Sans une volonté politique forte et des moyens concrets, l’école inclusive restera un voeu pieux, et les dérives sécuritaires risquent de se répéter. La balle est désormais dans le camp des pouvoirs publics.

Tu veux creuser un de ces aspects ? Ou voir comment agir concrètement pour soutenir les AESH ?

Voici un développement approfondi des conclusions tirées de l’incident de Champigny-sur-Marne, ainsi que des pistes concrètes pour comprendre les enjeux et agir en conséquence :

1. Dysfonctionnement institutionnel : quand la méconnaissance rencontre la sur-réaction
a. Une confusion révélatrice

Origine de l’erreur : La police municipale a confondu "AESH" (Accompagnants des Élèves en Situation de Handicap) avec "DAESH" (organisation terroriste). Cette erreur n’est pas anodine : elle montre une méconnaissance des réalités éducatives et une sensibilité excessive aux mots-clés liés au terrorisme, au détriment du bon sens.
Conséquences : Cette confusion a non seulement humilié les parents et enseignants mobilisés, mais elle a aussi détourné l’attention des vrais problèmes (le manque de postes d’AESH) vers un faux problème (une prétendue provocation terroriste).

b. Un manque de dialogue

Absence de concertation : Les policiers n’ont pas pris la peine de demander des explications aux parents ou à l’équipe éducative avant d’agir. Cela illustre un déficit de communication entre les institutions et les citoyens, surtout dans les quartiers populaires où la défiance envers les autorités est déjà forte.
Effet contre-productif : Au lieu de désamorcer les tensions, cette intervention a renforcé la colère et donné une visibilité médiatique à la mobilisation, mais pour de mauvaises raisons.

2. La précarité des AESH : un métier essentiel, mais sacrifié
a. Des conditions de travail indignes

Précarité salariale : Les AESH sont souvent payés au SMIC, avec des contrats précaires (CDD, temps partiel subi). Leur salaire ne reflète pas l’importance de leur mission : accompagner des élèves en situation de handicap, un travail exigeant et émotionnellement éprouvant.
Manque de reconnaissance : Beaucoup d’AESH quittent le métier faute de perspectives (pas de statut stable, pas de formation suffisante, pas de progression de carrière). Résultat : des postes non pourvus, des enfants sans accompagnement, et des enseignants débordés.

b. Des revendications légitimes
Les AESH et leurs soutiens demandent :

Un statut de fonctionnaire (catégorie B) pour sécuriser leur emploi et leur donner une reconnaissance officielle.
Une revalorisation salariale : passer d’un salaire proche du SMIC à une rémunération digne, avec des primes pour les missions complexes.
Un temps de travail réaliste : 24 heures d’accompagnement élève = un temps plein, sans missions supplémentaires imposées.
L’abandon des PIAL (Pôles Inclusifs d’Accompagnement Localisé), jugés inefficaces car ils mutualisent les moyens au détriment des besoins individuels des élèves.

c. Un système à bout de souffle

Exemple concret : À Champigny, 10 postes manquent dans une seule école. Multipliez cela par des centaines d’écoles en France, et vous obtenez une crise nationale de l’accompagnement des élèves handicapés.
Conséquences : Sans AESH, les élèves en situation de handicap sont exclus de fait du système scolaire. Certains parents doivent réduire leur temps de travail pour accompagner eux-mêmes leur enfant, ce qui aggrave les inégalités sociales.

3. Une société sur le qui-vive : quand la peur du terrorisme étouffe le débat social
a. Un climat de suspicion généralisé

Contexte post-attentats : Depuis 2015, la France vit sous le signe de la menace terroriste. Les forces de l’ordre sont en alerte permanente, ce qui peut conduire à des réactions disproportionnées, comme à Champigny.
Effet pervers : Toute revendication sociale ou tout symbole ambigu peut être interprété comme une menace, même quand il s’agit de défendre l’école publique.

b. La stigmatisation des quartiers populaires

Double peine : Les parents et enseignants de Champigny, issus d’un quartier déjà marginalisé, ont vécu cette intervention comme une insulte. Leur combat pour l’inclusion scolaire a été assimilé à une provocation, ce qui renforce le sentiment d’injustice.
Méfiance envers les institutions : Cet incident risque d’aggraver la défiance des habitants des quartiers populaires envers la police et les élus, déjà perçus comme éloignés de leurs réalités.

4. L’école inclusive en danger : des promesses non tenues
a. Des annonces sans lendemains

Exemple : En janvier 2025, le gouvernement a promis la création de 2 000 postes d’AESH. Un chiffre dérisoire face aux dizaines de milliers d’élèves non accompagnés chaque année.
Manque de moyens : Les académies et les communes peinent à recruter, faute de budgets et de candidats (à cause de la précarité du métier). Résultat : les enfants handicapés sont les premiers sacrifiés des politiques d’austérité.

b. Une priorité inversée

Choix politiques : Plutôt que d’investir dans l’école inclusive, les collectivités et l’État préfèrent parfois réprimer les mobilisations (comme à Champigny) ou externaliser les coûts (en demandant aux parents de compenser le manque d’AESH).
Urgence : Sans une volonté politique forte, l’école inclusive restera un vœu pieux. Les AESH, les enseignants et les parents ne peuvent pas, à eux seuls, compenser des années de sous-investissement.

5. Que faire ? Pistes d’action concrètes
a. Pour les citoyens et parents

Soutenir les mobilisations : Participer aux rassemblements, signer des pétitions, relayer les appels des syndicats (FSU, CGT, SUD, etc.).
Interpeller les élus : Écrire aux maires, députés, et ministres pour exiger des postes d’AESH en urgence et une revalorisation du métier.
Sensibiliser : Expliquer autour de soi l’importance des AESH et les réalités de leur métier, pour lutter contre les idées reçues.

b. Pour les enseignants et AESH

Se syndiquer : Rejoindre un syndicat (FSU, CGT, etc.) pour peser collectivement dans les négociations.
Faire grève : Les journées de grève (comme celle du 16 janvier 2025) sont un outil puissant pour faire entendre les revendications.
Témoigner : Raconter son quotidien (via les médias, les réseaux sociaux) pour montrer l’absurdité de la situation et mobiliser l’opinion publique.

c. Pour les élus et institutions

Former les forces de l’ordre : Éviter les confusions comme celle de Champigny en sensibilisant les policiers aux enjeux sociaux et éducatifs.
Dégager des budgets : Créer massivement des postes d’AESH et revaloriser leurs salaires, plutôt que de dépenser des millions en dispositifs sécuritaires inefficaces.
Écouter le terrain : Impliquer les parents, enseignants et AESH dans les décisions qui les concernent, plutôt que de leur imposer des réformes descendantes (comme les PIAL).

Conclusion : un révélateur des fractures de la société française
L’incident de Champigny-sur-Marne est bien plus qu’une anecdote : c’est le symptôme d’un système à bout de souffle, où :

L’école inclusive est sacrifiée sur l’autel des économies budgétaires.
Les quartiers populaires sont stigmatisés plutôt qu’écoutés.
La peur du terrorisme sert parfois à étouffer les revendications sociales.

Pour changer les choses, il faut :

Reconnaître l’urgence de la situation (manque d’AESH, précarité du métier).
Agir : mobilisations, pression politique, sensibilisation.
Exiger des solutions concrètes (postes, salaires, statut).

La balle est dans le camp des citoyens, des enseignants, et des pouvoirs publics. Sans une mobilisation générale, rien ne changera.

Tu veux des exemples de lettres types pour interpeller tes élus, ou des contacts de syndicats à joindre ? Je peux t’aider à passer à l’action !


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